2025 - Parapente Passion 06

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Vol libre de la Roya à ailleurs

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19.04.2025

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Baou de la Gaude

2025

Parapente

18.04.2025 - Baou de la Gaude

Avec Michal et Youri c'est une montée à pieds jusqu'au Baou de la Gaude où m'attendent Jean-Claude et Stephane. Je démarre la rando avec mon aile KodeP sur le Dos (cf randovol 2025).



12.04.2025 - Baou de la Gaude

Temps nuageux à la limite de pleuvoir avec des prévisions qui annoncent un flux d'Est Sud-Est qui laissent entrevoir un possible décollage. Le matin il pleut à certaines zones périphériques au lieu que je vise: Le Baou de la Gaude. Pas question d'aller me tenter à me rendre au décollage du Baou mais, je garde espoir d'un Hike & Fly dans l'après midi. Pour cela, je passe un message sur le groupe Whatsapp "Hike and Fly 06". Camille Lacoste se montre interessé ainsi que d'autres membres du groupe ... cf randovol 2025



10.04.2025 - Kennedy

    C'est un jour où il fait beau mais avec un peu de vent en altitude annoncé. J'ai à choisir le lieu de décollage et de la zone où je compte m'amuser avec mon aile sans me risquer à subir. C'est donc le site de Kennedy de Bar-sur-Loup que je vais me rendre après être tombé d'accord avec Thierry Servetti pour le rendez-vous et le lieu de vol. Ca ne devrait voler qu'en fin de matinée et au plus vers les 11h. Il n'est pas 10h quand j'arrive à l'atterro des Valettes. Thierry est déjà sur place et me fait savoir qu'une aile avait déjà décollé de Kennedy a pris du gaz et serait parti sur d'autres horizons. C'est de bon augure d'autant que les meilleurs plafonds étaient annoncés plutôt en fin de matinée. C'est avec mon Duster que nous montons jusqu'au parking du site d'envol. Quand nous arrivons sur le site d'envol (630m d'alt.) nous sommes les seuls pilotes présents et je n'en verrais pas d'autres jusqu'à mon décollage. La biroute est dans le bon sens et me montre que c'est assez bien alimenté pour prendre l'envol mais au fur et à mesure du temps qui passe, il y a des creux de brise au point d'avoir une biroute en berne. Il nous faut attendre. J'ai l'intention de prendre l'envol en premier et si je me loupe j'accepte l'idée de finir mon vol prématurément à Vallettes. Je fais donc le fusible pour Thierry. Mon premier levé d'aile embarque des parties de végétations coupées pouvant gêner le calage de mon aile. Je repose mon aile pour dégager ces intrus des suspentes et remets mon aile en phase d'envol avec un face-voile. Cette fois-ci, c'est la bonne avec un décollage sous brise légère qui me fait courir presque jusqu'au bas de la pente, il est 10h55 quand mon GPS se déclenche. La prise en charge ne se fait tardivement et rien qui me remonte dans la masse d'air. Je dois trouver de l'ascendance pour remonter et espérer continuer mon vol avec l'idée de pendre du gain. Je bataille un temps pour parvenir à me retrouver plus que le relief que je venais de quitter. Quand je parviens à remonter je vois Thierry décoller à son tour. Nous voilà à jouer avec notre aile dans la masse pour rechercher les thermiques qui vont nous permettre de nous hisser vers le ciel. Je remporte ma première lutte pour ne pas descendre et devoir poser. La deuxième bataille qui suit est la recherche de thermique pour les exploiter afin d'en tirer le meilleur pour optimiser le gain d'altitude. Mon premier thermique que je cherche à exploiter me fait atteindre les 1030m max. Je le quitte finalement pour tenter d'en trouver un autre plus généreux. La masse d'air est assez tranquille dans l'ensemble mais à certains moments je ressens bien que les thermiques remuent la masse d'air en certaines zones. Thierry de son côté cherche également à optimiser son vol. Il se montre plus voyageur que moi ne se privant pas d'aller fouiner d'un côté comme de l'autre. Je me donne l'idée d'aller fouiner du côté Ouest (en ouest du déco de Kennedy) avec cap sur la Carrière. Dans la transition je sens mon aile qui bénéficie d'une zone ascendante. Je la renifle un peu et m'aperçois que c'est une zone exploitable pour enrouler et grappiller de l'altitude. Je ne fais pas la fine bouche et profite de ce qui se présente à moi pour m'élever de nouveau dans le ciel avec ma Delta 4 et c'est ainsi que j'atteins 1168m d'alt. en max. C'est mon plaf le plus haut de la journée, un gain max de 538 m de gagner depuis mon envol. Ne comptant pas partir je bascule sur un relief en Sud où se trouve une antenne. A cet endroit je perçois une zone qui fait biper mon vario. Je m'y amuse à exploiter cette zone certes faible en puissance mais exploitable pour y gagner un peu de 100m avant de partir vers le relief du Pic de Courmettes pour y perde de l'altude en vue de poser mon aile et mes pieds. C'est la fin de mon vol. Avec Thierry qui a posé un peu avant moi, nous avons manifesté notre notre joie d'avoir fait ce vol bien agréable.



09.04.2025 - Baou de la Gaude

En cette matinée il ne fait pas beau et il pleut fidèle aux prévisions météorologiques mais dans l'après midi, le ciel s'éclaircit un peu , la pluie a cessé. Il me vient l'idée de prendre mon aile pour monter au Baou de la Gaude et au pire, si ca ne décolle pas ou que ça se déteriore, je redescends à pieds. Je démarre la rando de la Boulangerie et je mets 1h55 pour atteindre le décollage du Baou (cf randovol 2025).


Vol sous chappe nuageuse



05.04.2025 - Tende

Grand ciel bleu sur Tende avec forte brise de vallée qui me permet de tester la capacité de mon aile Artik7P à pénétrer dans la masse d'air ainsi que sa solidité. J'ai dû attendre 17h avant de monter au déco car la balise pointait du 44km/h dans la journée une fois que la brise fut installée. C'est encore fort à 17h00 mais ça devrait baisser d'un cran ce qui me permettrait de fa ire mon envol. C'est avec mon ami Dom que je monte au décollage. La brise est encore costaud mais je devrais m'en sortir pour décoller. J'observe d'abord la dynamique de l'air avec ses accélérations, il y a encore quelques coups de butoir qui restent toutefois acceptables. Je sors mon aile pour me mettre dans l'ambiance et me prépare tranquillement tout en discutant avec mon ami qui lui me parle de ses abeilles et ruche (son aile est restée au siège social du club qui est fermé pour vacances). Je sens un petit stress d'inconnu et de plaisir qui m'envahit. Le fait de pouvoir me tester avec elle pour la première fois n'est pas anodin, je suis encore au stade de découvrir l'aile ou plutôt ses réactions aux mouvements dynamiques du vent ainsi qu'à mes réactions propres pour être en adéquation avec l'aile et le vent. Mon premier l'aile se fait avec l'objectif de la garder un peu au-dessus de moi mais celle-ci finit assez vite sur mon côté gauche par le simple fait que je ne suis pas resté disponible dans le déplacement et la correction à la commande droite pour la garder sur la tête. En fait je lach le truc pour passer à la deuxième tentative pluss économique. J'actionne les élévateurs avant pour cette deuxième montée et je contrôle l'aile tout en me servant de la première expérience qui m'a permis de jauger la masse d'air. Je prends plaisir à garder l'aile un temps au-dessus de ma tête et je me lance au décollage à 17h52. Dans la masse d'air, j'avance péniblement comme prévu. C'est d'ailleurs pour cela que j'avais pris la précaution de mettre à mon pied gauche la anse élastique qui me permet de tendre la jupe afin de facilityer l'entrée de ma jambe gauche. Ce n'est qu'une fois les jambes dans le cocon que je peux saisir le barreau de l'accélo. Sans l'accélo j'avance de 3 à 4 km/h mais l'aile me porte bien et la dynamique du vent m'évite de raser les deux planches herbeuses, la piste et sa bordure de broussailles encore sèche de l'hiver. C'est à ce niveau topographique que j'enfonce le premier barreau pour m'écarter du relief mais aussi pour avancer plus dynamiquement. Sous la puissance de la brise, je ne fais que monter progressivement sans rien faire. A ce jeu-là, au cours de mon vol qui dure près de 22' mon aile me transporte jusqu'à 1263 m (un peu plus de 150m du décollage). Pour revenir poser, il fauit que je me reprenne par deux fois et à chaque fois je dois me diriger vers le village pour y trouver une zone où mon taux de chute se dégrade (la classique zone pour y faire sa perte d'altitude où se trouve une zone d'étranglement de la vallée à hauteur du village). Lors de mon premier passage je ne suis pas descendu suffisamment bas en revenant du village du coup je dois alterner entre virages serrés et oreilles mais malgré celà, j'ai 15 à 20 mètres de trop lorsque je me présente au terrain. Je m'écarte de nouveau pour rejoindre une nouvelle fois le village afin d'y perdre plus d'altitude que lors de mon premier passage. Quand je reviens vers le décollage, mon approche au relief est plus basse que le niveau du déco. L'ajustement se fait grâce à la dynamique de la brise qui m'accompagne avec quelques mètres de plus jusqu'à la première planche où je pose pieds et aile en douceur. Fin de mon premier vol à Tende avec l'Artik 7P


Cagnourine et son Déco/Attero



28.03.2025 - Cagnourine

En cette journée de vol libre tendasque c'est le premier vol 2025 sur Tende en ce 28 mars, et c'est avec ma nouvelle aile de Niviuk Artik 7P. Je suis assez curieux de la tester dans la masse d'air de mon coin aérien que je connais bien. Contrairement aux années précédentes, les journées de vol sont péniblement accessibles sur la commune de part une météo assez execrable, où les intempéries hivernales semblent vouloir se faire au printemps cette année et ça dure. Pour aujourd'hui les prévisions météorologiques donnaient du Sud et cela se confirme. Je n'hésite pas vers fin de matinée à prendre mon aile pour monter à Cagnourine rejoindre Lucien Berenger pour tenter d'exploiter les conditions si présentes. Après avoir discuté avec Lucien (je ne l'ai plus vu depuis pas loin de 3 mois) je pars me préparer pour m'envoler et servir de fusible à Lucien qui lui, se ne mettra en l'air qu'en fonction de ce que je vais lui renvoyer comme informations sur la masse d'air. Mon premier décollage (11h50) se solde par du soaring avec le risque de descendre trop bas et ne point reposer au déco compte tenu que les conditions ne sont pas encore véritablement installée pour prendre du gaz. Mon objectif devient assez rapidement celui de reposer au déco et je ne me tiens qu'à cela. Je repose satisfait de n'avoir pas à remonter à pied, mais je sens que les conditions vont rapidement s'installer avec le bon ensoleillement du jour. Déjà, ce fut le bonheur pour moi de m'envoler avec l'Artik, mais j'en attends plus. Et en effet, en l'espace de 10 minutes, il n'y a plus de doute, la brise est plus régluière et tonique ce qui devrait favoriser la portance pour au moins du vol thermo-dynamique, ce qui me permettra d'avoir les conditions pour m'extirper du trou Cagnourinien. Lucien reste toujours en attente de .... ben des conditions thermiques. Pour le mettre en l'air il va me falloir lui montrer ces conditions là et ce n'est pas pour me déplaire. Je redécolle dix minutes plus tard. Me voilà à jouer avec mon aile qui se montre très agile aux virages, du coup je me fais des va-et-vients au devant et sur le déco tout en testant la masse d'air avec son évolution. Je sens les thermiques se déclencher et progressivement se mettre en place ce qui est de bonne augure pour la suite. Finalement, à force de chercher à accrocher les petites zones ascendantes, devenant progrressivement exploitables je finis par m'extraire de la "zone sécurité" pour un vol plus aventure en sautant de thermique en thermique naisant mais plus écarté de la zone d'atterrissage. La première bataille est d'atteindre les 1200m, la condition pour aller chercher plus en arrière du déco à savoir la zone pour se rapprocher et raccrocher la pyramide à une altitude de 1300 et des brouettes. C'est à ce niveau, à cette crête atteinte que je vais devoir trouver le thermique qui va me hisser véritablement à plus haut. Cette zone là se situe au-dessus et aux alentours de la crête qui part de la Pyramide jusqu'à deuxième bosse. Puis, la crête qui mène de la deuxième au sommet du Mont Court. Pas toujours évident d'aller se jeter en arrière de la crête avec le sentiment qu'on risque de se mettre sous le vent du thermique et pourtant c'est comme cela qu'il faut le faire le plus souvent avec un décalage du thermique du à la brise de vallée. Bien spur il n'est pas toujours au même endroit mais quand ça ne fait pas devant il faut aller le chercher en arrière de cette crête. Une fois pris, on se laisse décaler avec et il peut nous amener à +1800 voire dépasser les 2000 comme j'ai pu l'avoir vécu et ça, c'est top ! on est dans une grande journée ! Bref, à force de chercher j'ai fini par saisir ce thermique et plus ça montait, plus c'était facile de rester dedans avec du +3.2m/s. Je suis monté ainsi jusqu'à 1782m d'alt. J'ai dépassé la hauteur du sommet du Mont Court qui est à 1713m d'alt. il m'était aisé de transiter sur le Mont Court. Toutefois, je fais le choix de lacher le thermique non pas pour transiter mais pour prendre cap sur le Mont Bergiorin pour tester l'aile face à la brise de vallée tout en me rapprochant du village Tende pour y faire ma perte d'altitude. Et c'est ainsi que se termine mon vol pendant que Lulu se faisait un beau plaf à +2000 au-dessus du Mont Court. Alors que je reviens du village vers le décollage pour poser, je vois Lucien qui revient bien haut pour venir jouer sur le Bergiorin. Il me dira une fois posé qu'il s'est pris un skud au Bergiorin, son aile Delta 2 a bien encaissé le choc (aucune fermeture) m'a t-il dit. C'est le printemps, il y a aussi les oiseaux qui chantent c'est le printemps et ça vole et ça vole !



25.03.2025 - Baou de la Gaude

C'est entre des journées pourries pour le vol libre que je saisi ma chance à pouvoir faire un randovol et c'est au plus facile que je vais me rendre mais aussi à l'endroit qu'il faut pour avoir les conditions pour cela. Le Baou de la Gaude ... celui-là revient et reviendra souvent ! il n'est pas très loin de chez moi et puis je l'aime bien ce Baou, j'ai même de l'affection pour ce décollage. Il est vrai que la vue que l'on a de cet endroit est sublime. Ce jour-là, je me décide de partir du plus bas, de la Boulangerie Aux Pains Délices" de la route de la Baronne. C'est sans oublier la caméra dans la voiture comme cela m'est arrivé il y a peu, que je fais mes premiers pas avec mes bâtons de marche devenus inséparables (je ne risque pas de les oublier ceux-là !!) .... cf randovol 2025





23.03.2025 - Baou de la Gaude

    C'est à 11h50 ce jour-là que j'ai décollé du Baou de la gaude mais avant il a fallu m'y rendre à pieds. J'ai, une fois pris l'envol, volé durant 25' sous mon aile ARTIK 7P (Niviuk ) pour une distance en triangle de 8km et une altitude max de 1122m (cf randovol 2025).



17.03.2025 - Baou de la Gaude

    13h48 fut l'heure de mon décollage du Baou de la Gaude avec l'aile Kode P. Le plafond de mon vol a été de 925 m d'alt. avec une distance trianglaire de 5 km (cf randovol 2025).



    14/03/2025 - Baou de la Gaude

    C'est la série des randovols pour moi. Thierry Servetti est de sortie avec moi, il m'accompagne seulement en rando car il ne peut actuellement voler. On s'est donné rendez-vous à la Boulangerie mais la rando nious allons la démarrer au pieds du sentier terro-caillouteux qui commence au bout du chemin de Bezaudun. Je me suis chargé le dos de mon Artik 7P et la montée avec Thierry on se l'ai faite tranquillement. Thierry en a profité pour ramasser les asperges sauvages. (cf randovol 2025).



    8/02/2025 - Baou de la Gaude

    Petit randovol
    Temps de vol : 23 minutes avec l'ARTIK 7P (Niviuk ) - Distance parcourue : 5km - Altitude maximum : 864m  (cf randovol 2025)



26.02.2025 - Mont Chauve

Fervent depuis toujours de la discipline marche et vole, je me régale à toujours en faire ma principale activité lorsque je suis loin de mes bases tendasques qui sont si pratiques pour les déco et reposé au déco de Cagnourine. Aujourd'hui, je me décide en regard de la météo et son aérologie à aller marcher et m'envoler mais j'hésite entre le Baou de la Gaude et le Mont Chauve. Finalement, mon choix se tourne pour le Mont Chauve après avoir regardé les prévisions locales où il y aurait un léger Sud Ouest, parfait pour le Mont Chauve. Je démarre la rando du cimetière Sud situé entre Colomars et Aspremont. Je démarre donc la rando vers les 10h15 en empruntant la route bitumée jusqu'au sentier du GR 5 qui s'emprunte juste à côté de l'école d'Aspremont. Je n'ai pas pris mon sac le plus léger avec mon aile Artik 7P et l'arrowP qui contient le secours le tout contenu dans le sac de portage Expe Race 60L (467 grs) qui est plus léger que mon Expe 80 (656 grs) ... (cf randovol 2025)



23.02.2025 - Roquebrune Cap Martin

C'est un randovol de Roquebrune Cap Martin au Mont Gros qui est prévu avec Camille. Le rendez-vous est fixé pour 10h-10h30 au point de départ du bus à Cabbé et c'est de cet endroit que nous démarrons la rando. Je préviens Camille que je n'ai plus le pas rapide comme plus jeune mais qu'à priopri je devrais sans problème atteindre l'objectif: Le mont Gros. Quand nous arrivons au village, je me dis que j'ai déjà fait un quart de la rando. Nous continuons la rando en direction de la Coupière avec un peu de sentier et un peu de route puis arrivé à la Coupière nous empruntons la piste qui est fermée par une barrière pour ensuite emprunter un sentier qui va nous mener au pied au pied du déco Est du Mont Gros. J'ai mis très exactement 1h33 pour fouler la moquette verte du décollage. Des pilotes ont déjà pris la masse d'air mais la majorité des pilotes venus voler sur ce site sont en attente de s'envoler ou de se préparer. Je ne tarde pas à sortir de mon sac l'aile et sellette pour mettre de l'ordre dans les suspentes. Les pilotes décollent tour à tour avec un travers droit au décollage Sud ce qui fait rater le décollage pour certains. Vu que les ailes sont déployées plutôt en haut du décollage je pose la mienne un peu plus bas et de côté pour mieux écopé le Sud ouest qui alimente la pente. Mon premier levée d'aile ne me permet de contrôler l'aile, j'ai à la remettre en place avec l'aide de Camille qui attend après moi. Cette fois-ci, c'est la bonne même si je la sens mollassonne, elle reste en sustentation au-dessus de ma tête attendant plus d'énergie pour se tendre. J'attends pour cela que la brisette se renforce un peu pour lancer ma course d'envol avec de bons appuis ventraux et hop là ... c'est parti pour un vol. Je me loupe en sortie de déco niveau choix en me déplacant vers la droite où je perds de l'alrtitude. Je vais passer beaucoup de temps à tenter de ne pas plomber en exploitant les courants d'air chaud qui sont par-ci par-là non véritablement organisé à moins d'être plus haut à 100/200m plus haut que moi et où les pilotes n'ayant pas fait l'erreur de basculer dans le trou sont heureux d'exploiter cette masse d'air plus porteuse mais ce n'est pas pour autant qu'ils grimpent dans le ciel. En fait le plafond n'est pas généreux pour nous, parapentistes mais la masse d'air permetr de se maintenir en l'air en la travaillant un peu. Je me bats donc et petit à petit j'arrive à glaner des dizaines de mètres. Mon objectif est d'arriver au moins à hauteur du décollage mais, si ma Kode P ne se lasse pas de voler car elle est faite pour cela, son pilote que je suis finis par se lasser. Je tente encore un peu à trouver le thermique que je pourrai enrouler mais quedalle ou en tout cas pas où je zone. Finalement, je prends cap sur le cap Martin et à mi chemin du cap, je rebrousse chemin en longeant le relief en direction du village. Arrivé à hauteur de la plage, je me dirige sur Cabbé avec l'idée d'aller poser. Les copains du jour ont mieux exploiter la masse d'air que moi ... (cf randovol 2025)



20.02.2025 - Baou de la Gaude

Ce jour, c'est avec Pascal Hanot que j'ai rendez-vous à la boulangerie "Aux Pains délices" pour démarrer la rando de cet endroit afin de rejoindre le déco sauvage du Baou de la Gaude (cf randovol 2025).



15.02.2025 - Baou de la Gaude

C'est avec Pascal Hanot que j'ai rendez-vous pour 10h00 à la Boulangerie "Aux pains délices" route de la Baronne pour rejoindre le Baou de la Gaude afin de nius y envoler si les conditions le permettent. Aujourd'hui c'est une journée d'un ciel bleu clair et sans nuage qui devrait nous attendre. Pour cette occasion, je prends ma toute nouvelle aile Niviuk l'Artik 7P d'une couleur vert bleu. Comme hier nous démarrons la rando au plus haut de Gattières et nous décollons aux alentours des midi. (Cf randovol 2025).



14.02.2025 - Baou de la Gaude

C'est un jour où peu d'endroits sont propices à un envol avec une aile de parapente. Ce serait à priori un jour sans mais avec Michal, Pascal Hanot, Sebastien restons optimiste pour le Baou de la Gaude et personnellement je cocherai même la case Mont Chauve mais je ne retiens finalement, comme les parapotes, que le Baou de la Gaude. Le rendez-vous est fixé avec Michal pour 10h30 à la boulangerie de la route de la baronne. Seb, quant à lui, démarre la rando de St Jeannet et Pascal nous rejoindra au déco. C'est le randovol de la Saint Valentin (cf randovol 2025).



13.02.2025 - Mont Chauve

Vu les prévisions météorologiques, je suis motivé à aller du côté du Mont Chauve pour y faire un décollage avec ma nouvelle aile Artik 7 P. Je suis seul, de ce fait je dois gérer le trajet qui est à faire une fois posé dans le lit du Var. Afin de ne pas me rendre le retour trop difficile, je décide de couper en 2 la rando .... (cf randovol 2025).



09.02.2025 - Gréolières

C'est à Gréolières que je vais voler, depuis le temps que je n'y étais plus allé. Le rendez-vous est fixé avec Robert Gallian et Robert de Saint Raymond au parking de l'attero pour 11h. Avant de monter au déco on fait d'abord un tour au village pour y boire un café et hop, on prend notre aile et l'on s'attaque au sentier qui nous mène au déco du 300. Je galère, c'est petite forme, besoin de faire de fréquente micropauses alors que Robert SR qui a un sac beaucoup plus lourd que moi, avance de visu facile et sans aide de batons de marche. Aurais-je un problème cardio vasculaire ? c'est la question que je me pose. Arrivés enfin au déco, il y a 3 pilotes qui sont en attente que les conditions s'améliorent pour décoller. La brise qui vient alimenter le déco est bien de face mais intermittente, c'est encore un peu trop cyclique. Comme tout arrive, en bien ou en mal, la brise s'installe enfin. Les ailes sortent de leur sac et les premiers arrivaient décollent, des anciens pilotes qui ne tardent pas à prendre du gaz pour les voir ensuite voler près de la crête. Les ailes de Bob et Robert sont étalées au sol tout comme la mienne. L'école Voyageurs du ciel arrive avec ses élèves, c'est le jour du passage brevet de pilote pour eux et le moniteur donnent les consignes. Les élévateurs avant à la main, je tente mon premier décollage avec l'Artik 7P mais je me rate en me faisant arracher du sol alors que je suis twisté par le face voile, le twist s'accentue par je ne sais quel mouvement. Je crois avoir lu sur la notice son comportement quelque peu énergique au décollage et la recommandation est de monter l'aile avec douceur. L'aile étant retombée proprement je me tente de nouveau en face voile pour monter l'aile, j'y vais encore plus tranquille sur les avants mais là encore je sens mon aile devenir très tonique quand elle arrive au trois tiers de sa montée et prend une forte accélération au moment où elle arrive à la verticale ce qui m'impose un coup de freins sysmétrique pour éviter qu'elle me passe devant avec le risque de fermeture frontale. J'ai pu éviter de justesse un nouvel arrachage du sol par contre je me suis retourné aussi vivement pour faire face à la pente au cas où, pour y faire une petite tempo avant de m'élancer vers le vide. Ca y est je vole enfin sous cette aile, je vais pouvoir la jauger et voir comment je me sens dans un vol où l'aérologie semble généreuse de ce que j'ai pu voir avec les ailes qui ont décollé précédemment. L'aile glisse bien dans la masse d'air, elle vire bien, elle bouge un peu plus que l'Ikuma 3P. Dès les premiers mouvements de la masse d'air vers le haut, j'essaye de les chopper pour m'élever avec. Si les premières minutes je suis resté aux alentours et devant le déco, les quelques dizaines de mètres gagnés en altitude me permettent de me décaler en arrière du décollage, pour me rapprocher du relief montant. Je vois de beaux nuages qui en disent long mais aussi des ailes qui ont gagné la bataille pour se retrouver à proximité de la crête du Cheiron. C'est Magnifique et ça vole bien. Je suis encore un peu bas pour trouver des ascendances organisées mais je vais assez vite les trouver. Ce sont des thermiques qui me font penser aux conditions printanières, un peu hachés le plus souvent mais selon la topographie du lieu où je me trouve, certains sont plus construits et fluides dans leur écoulement, j'en profite pour y faire 3 à 4 tours avant de le perdre. Plus je monte et mieux c'est, je sens bien que la clé est de monter pour faciliter l'arrivée à la crête. Pourtant, arrivé à 1400m je lâche l'affaire et je cherche déjà à m'écarter au -devant pour descendre alors que je vois Robert et Bob chercher à monter à l'instant où je les coiffe avec 100 à 200 mètres de gaz au-dessus d'eux. J'avais fait le plus dur. Ca parait incroyable alors qu'il cherchent à monter moi je cherche à descendre. De toute évidence, il en ressort que l'envie et le plaisir de rester en l'air n'est pas du même niveau. Bob et Robert se feront la crête pendant que moi je pose mes pieds à l'atterro. Un peu de gonflages au sol en attendant qu'ils arrivent à leur tour pour poser pieds et ailes, contents de leur tour du côté de la crête du Cheiron avec bascule sur le plateau qui se trouve derrière Cipières. J'ai eu plaisir à écouter leur vol tout comme je suis content du mien également et prêt à reprendre mon aile un jour autre pour revoler avec l'Artik 7P pour apprendre d'elle et faire l'oiseau le temps de l'envie.





06.02.2025 - Gourdon

Yepa, je décide d'aller voler à Gourdon seul en me rendant sur le petit parking qui se trouve juste à côté du déco moquette. J'ai pris mon aile Delta 4. Sur le déco moquette, du monde et à priori ça décolle bien mais c'est cyclique. Je ne perds pas de temps et prends le sentier qui mène au déco qui se trouve plus haut que l'école ascendance utilise pour ses élèves dont j'ai fait partie un certain temps pour ma progression et ça remonte.... un merci à Eric Bordon et Patrick pour leur encadrement et formation. C'est d'ailleurs avec cette école que j'ai passé mon brevet de pilote et un an après mon brevet de pilote confirmé. Ce jour-là j'étais monté au déco moquette de Gourdon (la moquette n'y était pas encore) mais les conditions arrière au décollage ne permettaient pas de décollé d'ailleurs, il n'y avait aucune aile et pilote dans le secteur et ni en l'air d'ailleurs. Mais je n'abandonne pas et je rejoins le décollage de Cavilloore. Il y avait 2 pilotes qui se préparaient à décoller. L'un des deux était Thierry Guillard du CAF mais aussi du club au Gré de l'air de Gréolières. Il décolle en premier pendant que moi je finis de me préparer. Je décolle et gratte sur Cavillore à la recherche du thermique qui va bien. Les deux autres pilotes en font autant. Thierry finit par s'échapper après avoir fait un gain suffisant pour aller transiter sur Courmettes. Perso, j'ai la gnac car je suis venu pour tenter de valider mon vol de BPC et je m'accroche jusqu'à ce que je trouve le thermique qui va bien, que j'enroule et me fait gagner une certaine marge en altitude pour que je tente la transition sur Courmettes. J'arrive sur Courmette assez bas et je dois travailler au relief en y trouvant des petits cycles de thermique que j'arrive un peu à enrouler. Je saute de thermique en thermique en les lachant à chaque fois que j'étais à leur fin jusqu'à me rapprocher du plateau. Là, ça devient plus organisé et les thermiques sont plus faciles à gérer et surtout leur colonne sont plus haute ce qui me fait gagner de l'altitude plus rapidement et cela jusqu'à arriver, en exploitant les thermiques qui déclenchent à différent endroit, au-dessus du sommet de Courmettes. J'y ai un gain de 200 à 300m du sommet, de là je suis bien au-dessus de Thierry qui semble un peu galérer à trouver le thermique qui va le monter lui aussi au sommet. Content de ma perf, je décide de revenir sur Cavillore mais dans la transition je perds pas mal d'altitude et je me retrouve au pied du massif rocheux. Je me dois de trouver l'ascenseur pour ne pas devoir poser et bingo, je sens qu'il y a du thermique à cet endroit. Une nouvelle fois, je dois travailler près du relief pour grapiller des mètres et enfin trouver la zone ascendante qui va me permettre de l'enrouler afin de passer au-dessus du plateau. Je cherche à gagner de l'altitude et quand je juge que j'ai suffisamment de hauteur, je suis curieux d'aller voir jusqu'au déco de Gourdon s'il y a quelque chose à y faire mais la tendance est toujours arrière et je ne trouve aucune ascendance. Je n'insiste pas et repars vite fait avant de perdre trop sur Cavillore où je dois une nouvelle fois, travailler au relief pour repasser au-dessus de celui-ci afin de m'y poser. Quel vol je venais de faire alors qu'apparemment les pilotes du coin n’avaient pas parié sur cette journée (3 ailes en l'air dont la mienne dont une avait assez vite lâché l'affaire). Un vol sans instrument mais quand je suis allé voir Patrick pour lui indiquer mon vol pour le BPC il l'a validé, bien conscient que j'avais fait le taf. Peut-être d'ailleurs qu'il a vu mon aile ce jour-là car même si ça ne volait pas, Ascendance était toujours sur place à l'Auberge et l'on sait que les pilotes ont toujours la tête en l'air. C'était l'histoire de mon vol pour le BPC. Je reviens sur mon vol du jour. Je n'ai plus la même gnac que lorsque j'étais plus jeune c'est une évidence mais je vole aussi autrement, pour autre chose, le plaisir et uniquement le plaisir mon moteur. Si je sens le plaisir en l'air s'étioler alors, avant la panne sèche, je vais poser pour finir sur une bonne touche et ne pas voler pour subir. En cette journée du 6 février de 2025, je monte au déco 2 de l'Embarnier. Il est 11h35 quand mon instrument démarre mon vol. Je vais voler en solitaire comme ce le fut assez souvent dans ma vie de parapentiste. Ma voiture étant en local il me faudra poser pas trop loin d'elle. Dès la sortie du déco avec un Sud-Est, je pars sur la droite pour y raser le relief en le longeant pour utiliser le thermo dynamique qui devrait s'y animer avec l'idée de rechercher au passage les zones  ascendante qui me permettraient de prendre du gain avec du pur thermique. Au fil de ma balade vers la boule blanche, je fais mes repérages et profite de quelques petites zones qui m'éclairent un peu pour ce que je pourrais possiblement trouver. A chercher ont fini généralement par trouver et cette aubaine-là je la trouve, en approche de la boule blanche côté bord de relief. J'exploite le thermique qui me décale à l'intérieur du relief du plateau et je prends du gaz pour atteindre les 1500m d'alt. Ce qui me fait voir la boule blanche de plus haut. Les 1501 m me suffisent, je lâche le thermique pour revenir vers les décos avec une hauteur conséquente me permettant d'aller voir plus loin avec deux options que je me propose. Rejoindre Kennedy en passant par les bois de Gourdon ou bien basculer tout simplement sur le plateau de Cavillore. C'est l'option 2 que je prends pour une bonne et simple raison que je serai moins éloigné de mon véhicule, en ayant plus de chance de pouvoir revenir en volant de surcroit. A peine arrivé au relief de Cavillore et pour ne pas me risqué à me louper, je reviens sur le site de Gourdon où je dois me refaire un petit gain d'altitude pour basculer en arrière du déco afin d'y aller poser. Aile pliée, il ne me reste plus qu'à ranger mon matos dans la voiture et retourner sur Nice. Un bien sympathique moment, je n'en demandais pas plus.


Le Haut Montet



05.02.2024 - Baou de la Gaude

Un petit randovol en solitaire que j'ai fait démarrer du plus bas (Route de la Baronne) avec mon aile Ultralite 3 d'Ozone sur le dos et l'aide de mes batons de marche. La grippe que j'ai chopé 2 à 3 semaines plus tôt a de toute évidence laissé des traces sur mon organisme. J'ai eu beaucoup de peine à arriver au but .... (cf randovol 2025)



04.02.2025 - Gourdon

Un envol avec mon aile Delta 4 à 13h22. Le vol ne dura que 18 minutes pour un plafond max à 1259m avec un gain d'une centaine de mètres. Il ne m'en faut pas plus pour reposer mon aile sur le plateau qui se trouve derrière le déco moquette de Gourdon.



02.02.2025 - Baou de la Gaude

3 semaines que je ne pratique plus .... il est temps d'y remédier mais cela dépend encore et toujours de la météo quand ce n'est pas la grippe qui me cloue chez moi. Après avoir pris la "température de la météo" si les conditions ne sont pas topissiment un randovol me motive à le tenter pour me remettre un peu en forme. Le tout étant de bouger et de décoller si ça peut se faire. En effet, ce qui est prévu est un temps au ciel gris avec une touche de vent météo en Est voire Nord-Est de 15 à 20 km/h dans une couche de masse d'air qui m'interesse, à priori ces conditions là s'amélioreraient en fin de matinée. Avec Pascal Hanot on s'était donné rendez-vous pour 10h30 mais au petit matin en refusant le point des prévisions, le vent annonçait la veille perdurerait une bonne heure de plus. Voyant cela, je me dis que nous pourrions reculer le rendez-vous d'une heure et c'est donc pour 11h30 que finalement le rendez-vous est fixé avec Pascal pour démarrer la rando de la route de la Baronne du parking de la boulangerie .... J'emporte avec moi l'Ozone Ultralite 3 (cf randovol 2025).


Pascal Hanot et moi au décollage du Baou de la Gaude



11.01.2025 - Baou de la Gaude

Après une bonne soirée passée au resto spécialités asiatiques de Cagnes-sur-mer dont le repas a été accompagné d'un Cru Beaumes de Venise, il me fallait aller marcher ce matin. Même si la météo annoncait un ciel nuageux et bas, je me suis dit pourquoi pas rejoindre les parapotes qui avaint dévidé de faire le Baou de la Gaude en démarrant la rando dès 8 heures. C'est donc sous le son du réveil que je me suis levé en ayant sélectionné la sonnerie de mon portable pour 6h45. Petit dejeuner pris, je me prépare et prends mon aile Ultralite 3 au cas où les conditions le permettraient. Je laisse la voiture tout près de l'atterrissage et à 7h50 et de là (54m d'alt.), je démarre la rando sans attendre les parapotes Michal et Nicolas. Je les connais bien plus véloces que moi et bien plus jeunes aussi, ce qui ne devrait pas les gêner pour me rattrapper assez rapidement. Je mets exactement 30 minutes pour atteindre le village de Gattières (7h20 à l'horloge de l'église du village de Gattières). Au parking près du cimetière, je suis à 278m d'alt. Je prends l'allée du cimetière dénommée allée des Cyprès pour me retrouver assez rapidement à Super Gattières. Là, j'emprunte le chemin de la Chenaie (356m d'alt.) avant de prendre la dernière portion bitumée du chemin de Bezaudun. C'est d'ailleurs à ce niveau là que Michal, Nicolas et Baptiste que je ne connaissais pas me ratrappent. De un je me retrouve à 4 et je fais connaissance de Baptiste. Présentation faite et la bonne année souhaitée, nous continuons le bitume pour enfin nous attaquer au sentier de terre et pierres qui débute à une altitude de 435m. Au pied du sentier, j'invite mes amis du jour de ne pas m'attendre d'autant que la brume n'attend pas et il y a de fortes chances qu'au fil dt temps le plafond devrait descendre pour envahir le relief et ne plus permettre de décoller dans des conditions normales. Mais aucun des 3 ne veulent continuer sans moi. Ceci me touche et du coup, me motive à rester dans le groupe mais je crains de faillir. A partir de là, j'avance sur ce terrain accidenté fait de terre ert de pierres avec bonne humeur certes mais je me dis jusqu'où vais je pouvoir tenir à un rythme un peu plus soutenu que prévu et que je m'impose comme par défi pour moi-même. Quand nous arrivons au premier croisement de sentier, où se trouve le panneau de bois qui indique St Jeannet par la gauche et le gros chêne par la droite, nous sommes à 632 m d'alt. Depuis le début de sentier, je venais de faire 200 m de dénivelé sans trop m'en rendre compte, entre nous n'avions fait que 2 micro-pauses. On continue donc le sentier dans une excellente ambiance, ça parlait aisément, ça blaguait et moi je me contentai à écouter tout en me disant il y a de la bonne humeur ... je glissais quelques mots mais j'avais surtout besoin de me concentrer à bien ventiler pour ne pas m'asphyxier et à diminuer toutes tensions inutiles pour ne pas consommer d'O2 inutilement alors que je suis loin d'être sur un 4000. Finalement, l'objectif est atteint. la brume a baissé depuis et commence à prendre le relief. C'est Michal qui décolle en premier suivi de Nicolas Stas qui lève son aile juste derrière l'aile de Michal. C'est quasi un décollage communié que je viens de voir. C'est au tour de Baptiste maintenant de décoller puis ce sera mon tour quand Baptiste aura décoller Je ferme la marche des décollages justement pour assisté Baptiste au cas où .....

Brume au déco du Baou de la Gaude



04.01.2025 - Mont Chauve

Au saut du lit, je mate les préviz et le ciel ! le tout me dit c'est bon tu peux y aller. Aller ok mais où ? Je regarde un peu sur des sites de prévisions météorologiques spécifiquement pour le vent et son orientation. En cette journée, en local, c'est du Sud-Ouest qui est annoncé avec du 15 km/h de moyenne. Cette infos me fait me détourne du Baou de la Gaude qui ne m'inspire pas trop avec un travers arrière droit au décollage. Je m'applique en détail sur le Mont Chauve et si sur le versant Sud ça ne devrait pas être le meilleur endroit, du côté Ouest ça pourrait le faire. Je passe l'info sur le groupe et je me prépare.... (cf randovol 2025).


Vue sur la Plaine du Var en décollant du Mont Chauve



03.01.2025 - Baou de la Gaude

Cette fois-ci, c'est avec Pascal Hanot que je vais arpenter le chemin qui va nous monter jusqu'au décollage sauvage du Baou de la Gaude. Une fois de plus c'est en instantanée, le jour même que je décide de bouger pour un rando-vol compte tenu que la semaine à venir ne devrait pas être au beau pour marcher et voler mais ça, je verrai si pas de changements heureux. En attendant, il ne faut pas remettre à demain ce qui est faisable maintenant, alors je passe vite l'info sur le groupe de Hike & Fly 06 que j'ai créé et pour lesquels des pilotes se sont greffés sur la démarche à savoir marcher et voler vous l'aurez compris .... (cf randovol 2025).


Pascal Hanot en sortie de décollage



01.01.2025 - Baou de la Gaude

Après un réveillon qui s'est terminée aujourd'hui, je me lève spontanément vers les 7 heures du matin. Je regarde le ciel qui m'invite à aller marcher pour éliminer tant soit peu les excès de ce réveillon. Je suis le seul à m'être levée si tôt mais avant de prendre le départ, je me dois de patienter pour que le premier déjeuner de l'année avec mon épouse puisse se faire. Ce n'est que vers les 10h du matin que je monte dans ma voiture avec comme direction le village de Gattières pour y laisser mon véhicule et de ce fait écourter le temps et l'effort de marche pour atteindre le décollage du Baou de la Gaude. Pour cette première sortie avec aile sur le dos et bâtons de marche, je prends mon materiel le plus trajet pour atteindre le décollage du Baou de la Gaude .... (cf randovol 2025).


Baou de St Jeannet et Baou de la Gaude





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