2024
Parapente
30.12.2024 - Mont Vial puis Mont Chauve
Ce jour-là, je suis chaud pour aller voir comment peut se faire le Mont vial, je monte en voiture jusqu'à un lieu qui se trouve très proche du sommet. Il s'y trouve un espace qui est favorable au décollage en Sud. Il s'y trouve des flammêches qui en disent long sur la possibilité de décoller de ce lieu. Mon ami Philippe m'en avait parlé et je trouve ce qui m'avait été décrit. J'ai pris mon aile avec moi avec l'idée de, si je le sens j'y vais mais pour aller poser dans la plaine du Var. La transition est longue et du coup une arrivée à bon port n'est pas assurée ce qui me refroidit l'envie d'y aller ... (cf randovol 2024)
29.12.2024 - Mont Chauve
Un randovol partit du Pont de la Manda pour le mont Chauve. Une escapade volante partagé avec Matéo (cf randovol 2024).
26.12.2024 - Baou de la Gaude
En cette journée, en solitaire, je me fais un randovol pour le Baou de la Gaude (cf randovol 2024).
Vue du déco Sud
24/12/2024 - Baou De La Gaude
Avec Michal, on s'est donné rendez-vous au décollage du Baou de la Gaude. Chacun est parti à son heure pour le temps de montée mais on décollera bien ensemble (cf randovol 2024).
Les deux Baous
21/12/2024 - Mont Chauve (France / Provence-Alpes-Côte d'Azur)
Avec Walter Allemand, nous avions projeté de nous rendre au Mont Chauve pour tenter d'y décoller. Nous nous mettons d'accord de laisser mon véhicule près du pont de la Manda pour m'éviter de remonter à pied jusqu'à Aspremont comme ce fut le cas le 16 décembre. En effet une pointe au dos ne m'incite pas à fournir cet effort qui consiste à remonter à pieds jusqu'à Aspremont une fois posé près du Pont de la Manda. L'organisation convenue avec Walter est de laisser mon véhicule près du pont de la Manda comme cela, une fois posé je n'aurai pas à remonter chercher ma voiture. Quant à Walter, il remonterait à pieds volontairement pour entrenir sa forme physique en accumulant les kilomètres de marche alternée avec des phases de course.
Vue en versant Sud
16/12/2024 - Mont Chauve (France / Provence-Alpes-Côte d'Azur)
15/12/2024 - Saint-Honorat (France / Provence-Alpes-Côte d'Azur)
- Envol à 12h25 - Temps de vol : 00:21:38s - Voile utilisée : ULTRALITE 3 (Ozone ) - Distance parcourue : 9km - Altitude maximum : 2343m
- (cf randovol 2024)
De la crête de Corpatas le Mont Saint Honorat
05/12/2024 - Mont Chauve
Envol à 13h22 - Temps de vol: 14:51s avec IKUMA 3P (Niviuk ) - Distance parcourue : 5km - Altitude max: 810m (cf randovol 2024)
Sommet du Mont Chauve Face Ouest
04/12/2024 - Mont Chauve
Sommet du Mont Chauve en Sud-Ouest
02/12/2024 - Mont Chauve
Un randovol qui est parti d'Aspremont avec mon aile Ikuma 3P sur le dos (cf randovol 2024)
Envol à 15h45 - Temps de vol : 00:13:10s avec IKUMA 3P (Niviuk ) - Distance parcourue : 6km - Alt. max: 834m
01/12/2024 - Baou De La Gaude
- Envol à 12h02 - Temps de vol : 00:15:59s - Voile: KODEP (Niviuk ) - Distance parcourue : 4km - Altitude maximum : 783m
Le Baou de la Gaude versaqnt Sud-Ouest
29/11/2024 - Baou De La Gaude
25/11/2024 - Baou De La Gaude (France / Provence-Alpes-Côte d'Azur)
- Envol à 15h16 - Temps de vol : 00:10:54s - Voile utilisée : KODEP (Niviuk ) - Distance parcourue : 4km - Altitude maximum : 793m
23/11/2024 - Baou De La Gaude (France / Provence-Alpes-Côte d'Azur)
- Envol à 11h57
- Temps de vol : 00:18:15s
- Voile utilisée : IKUMA 3P (Niviuk )
- Distance parcourue : 5km
- Altitude maximum : 855m
18/11/2024 - Gourdon / Kennedy / Courmette / Valettes
- Envol à 11h12 - Temps de vol : 00:54:59s - Voile utilisée : IKUMA 3P (Niviuk ) - Distance parcourue : 10km - Altitude maximum : 1167m
Plateau et Pic de Courmettes
16/11/2024 - Baou De La Gaude (France / Provence-Alpes-Côte d'Azur)
- Envol à 12h08
- Temps de vol : 00:19:23s
- Voile utilisée : IKUMA 3P (Niviuk )
- Distance parcourue : 8km
- Altitude maximum : 1010m
10/11/2024 - Baou De La Gaude
( France / Provence-Alpes-Côte d'Azur)
Envol à 12h53 -
Temps de vol : 00:23:54s - Voile utilisée : IKUMA 3P - Distance parcourue : 5km - Alt. max: 841m07-11-2024 - Baou De La Gaude (France / Provence-Alpes-Côte d'Azur)
05.11.2024 - Kennedy (France / Provence-Alpes-Côte d'Azur)
- Envol à 13h33
- Temps de vol : 00:39:43s
- Voile utilisée : IKUMA 3P (Niviuk )
- Distance parcourue : 5km
- Altitude maximum : 757m
03.11.2024 - Baou de la Gaude
C'est accompagné de l'Ikuma 3P sur mon dos que je marche en direction du Baou de la Gaude. Je suis en mode solitaire et donc je me la discute avec moi-même par la pensée durant toute la marche. Une fois arrivé au décollage du Baou de la Gaude en Sud-Sud-Est l'espace décollage est occupé par un jeune couple qui avait bivouaqué, tente encore montée. J'ai comme le sentiment de déranger mais ce n'est qu'une interprétation de ma part car bien au contraire j'ai eu même droit à de l'aide d'une charmante jeune fille pour arranger mon aile après un décollage raté. J'ai aussi eu droit à de l'aide par une autre personne qui connait bien ce qu'est le parapente puisqu'ancienne parapentiste. Elle m'apportait même sa perception aérologique en me précisant que ça rentrait parfois de "cul". Mon premier décollage raté justement parce que il y avait eu une brise arrière qui m'a empêché de rendre mon aile solide durant ma course d'envol, j'ai dû remonter mon aile en boule pour la replacer avec tous caissons ouverts sur toute la longueur du bord d'attaque afin d'optimiser l'écopage de l'air pour remplir les caissons le plus rapidement que possible lorsque je vais tenter de lever l'aile avec de pauvres conditions. M'attendant à un nouvel échec je cherche à mettre tous les ingrédients qui sont à ma disposition pour réussir cette phase délicate qui est de décoller d'un endroit exigu avec pente insuffisamment incliné pour favoriser une rapide prise en charge sans vent de face et de surcroit la rampe de lancement est courte. J'attends le meilleur moment, à savoir que je ne perçoive pas l'air venir sur ma nuque ce qui m'indiquerait qu'il n'y a rien qui viendrait de derrière ce qui est déjà un point non négatif et si possible décoller avec une brisette de face ce qui me serait bien salutaire pour ne pas remonter une nouvelle fois mon aile. Je suis très concentré avec tous mes sens en exergue pour me donner le signal à envoyer le premier mouvement vers l'avant de manière assez énergique afin d'apporter l'énergie nécessaire à l'aile pour monter vers le ciel. C'est parti j'envoie pour déclencher la montée de l'aile que je sens derrière moi car bien évidemment c'est avec la technique dos voile que je fais cela. Je suis au taquet en appui ventral avec 2 à 3 petits pas vers l'avant tout en attendant à ce que l'aile monte au-dessus de ma tête avant d'enclencher une vraie course d'envol pour apporter la vitesse suffisante que j'ai à lui apporter dans cette configuration d'absence de brise de face. Pour réussir l'envol, je compte sur plusieurs paramètres ! pour l'aile je dois lui apporter le poids qui va lui servir de moteur ainsi que la vitesse de ma course pour lui apporter ce vent qui va s'engouffrer dans les caissons dans l'optique de la rendre solide au-dessus de moi et que je ressens aux commandes mais aussi au niveau des élévateurs avant tendues vers la verticale, vous allégeant de ce fait par un début de prise en charge et ce n'est que avec cette perception que je continue ma course avant d'arriver en bout de rampe où, la rupture de pente va finir par me faire voler. Un grand moment donc où plein de choses se passent dans ce que je ressens durant cette phase de décollage qui rendent d'ailleurs ces instants si intenses et magiques lorsque je quitte terre. C'est parti, je vole et reste un temps près du décollage à voler comme un oiseau et en prenant soin de faire un petit coucou à ceux qui étaient au décollage un temps avec moi et pour l'aide qui m'ont accordé. Le ciel est bleu, il n'est même pas 13h mais point de thermique. Inexorablement, je perds de l'altitude malgré mes tentatives de grappiller quelques mètre mais quand je cherche à zoner dans de petites zones qui font biper mon instrument de vol de manière positive, je perds plus d'altitude que je n’en gagne. Après avoir zoné devant le coin décollage, me trouvant assez bas je finis par abdiquer et me projette à m'écarter du relief en direction du village de la Gaude car je sais que jamais je vais pouvoir regagner de l'altitude vu les conditions très pauvres voire inexistantes en terme d'ascendances. Je me rapproche tranquillement du village où je prends plaisir à survoler ce très joli village en forme de colimaçon vu d'en haut. Quelque petits tours au-dessus du village et me voilà déjà à me rapprocher pour aller poser près de la route de la Baronne où se trouve la boulangerie patisserie "Aux pains délices". Posé entier posé content, je plie mon aile. Mon temps de liberté que je me suis accordé en mode vol libre est terminé.
02.11.2024 - Baou de la Gaude
C'est le jour de mon anniversaire et je suis sur Nice. Je me dis que pour fêter cela rien de mieux que de me faire un petit randovol jusqu'au Baou de la Gaude pour une envolée sous mon aile Ikuma 3 P équipée de l'ArrowP. Entré en contact avec Matéo, c'est avec lui que je vais partager ces bons moments. Le rdv est fixé au parking qui se trouve près du cimetière de Gattières. Manon nous fait la navette et nous amène jusqu'à Saint Jeannet pour démarrer la rando d'un petit sentier tout récemment créé par un traileur. Ce sentier monte directement au décollage. Le sentier est assez abrupte et m'impose de petites pauses pour retrouver un rythme cardiaque qui me permet de continuer à avancer (éviter que je sois dans le rouge) et en 40' nous nous retrouvons sur l'aire de décollage. Je regarde comme à chaque fois le décor que nous offre ce point de vue dégaée sur la plaine du Var, les reliefs du Nord en Est de la ville de Nice et la vue sur la mer. C'est un régal quand la clarté du soleil refléte sur l'eau. Le moment est de savoir qui veut décoller en premier. Matéo me laisse le choix de décoller en premier je me préparer donc à cela et c'est avec un face voile que je lève l'aile bien que la brise n'est pas soutenue. Il y a un léger travers droit qui ne devrait pas compliquer mon décollage. L'aile levée et après une très légère tempo pour ne pas partir comme un sauvage j'enclenche la course d'envol. Je vire d'abord à droite pour aller chercher près des barres rocheuses du Baou et ça bipe sans me montrer que les thermiques sont organisés au poitn d'enrouler. Pour autant je suis plus haut que le décollage où je vois Matéo avec son aile rouge étalée. Je passe devant le déco pour aller voir du côté gauche du décollage mais je n'y trouve rien à mon passage je m'écarte donc du relief pour tenter de trouver du thermique plus en avan tout en attendant que Matéo décolle mais je fais un point bas qui me pose à revenir vers le relief sinon c'est l'atterro. Je me bats donc pour rester en l'air. J'enroule de petites zones ascendantes qui me font grapiller de précieux mètres. Matéo quand à lui décolle et se dirige directement à sa droite pour rejoindre le Baou. C'est là qu'il prend rapidement une centaine de mètres. Voyant cela, je ne tarde pas à me replacer vers le Baou et à enrouler devant pour être au niveau du plateau. N'insitant pas je prends cap sur le Baou de saint jeannet juste pour voir le plané de l'aile et la perte d'altitude dans la transition. Il y a bien sur de la perte dans la transition et je me rends bien compte que si j'insiste jusqu'au Baou de St Jerannet il y a de fortes chances que je ne puisse atteindre l'atterro de Gattières.
Distance : 6km - Distance cumulée : 10km - Plafond : 813m - Gain : 12m - Temps de vol : 00:23:54s - Vario max : 1.6m/s
Vue sur le Décollage du Baou de la Gaude
19.10.2024 - Baou de la Gaude
C'est un randovol pour cette journée que je choisi de faire et ce, en montant rejoindre le déco Est du Baou de la Gaude. Sous antibio, je fais le choix de m'écourter le parcours en démarrant la rando au pied du sentier de terre qui se trouve au plus de Gattières. Il m'aura fallu lever mon aile 4 à 5 fois en technique face voile pour comprendre que la solution passe par le dos voile. Avec cette technique prévu pour du sans vent, la tentative fut unique et me vila en l'air avec mon Ikuma 3P et ArrowP mais sans casque (cf randovol 2024).
12.10.2024 - Cervioni Sud
Accompagné de Michel qui nous fait la navette avec mon Duster, et de Laurent et Denis nous montons au décollage Sud de Cervioni. En effet, ce jour-là, il y a un flux Sud dominant qui ne nous permet pas de décoller de Scupiccia. Arrivés au déco on constate bien que le flux sud est là et que les conditions d'envol sont acceptables toutefois les conditions aérologiques sont peu dynamique (faible brise). Laurent se place au mieux du déco en ayant pris la précaution de positionner son aile au plus du déco alors que Denis et moi occupions le sol sur les côtés pour préparer notre aile respective. Déco réussi pour Laurent et après la place libré par son départ Denis vient s'y placer. Alors que je continue à prendre place dans ma sellette cocon Arrow, Denis entame son décollage mais se laisse légçèrement se déporter sur sa gauche sans y mettre le paquet, la prise en charge de son aile est un peu tardive ce qui lui vaut de passer limite à travers le maquis mais l'aile est restée solide et a fini par sortir du relief pour s'envoler en s'éloignant de la végétation ... ouf j'ai eu un peu peur et avait déjà pensé à me décrocher au cas où je lui serai utile. C'est mon tour, je ne change pas de place et pense pouvoir décoller d'où je me trouve mais après deux levées d'aile, je renonce à engager la course d'envol en préférant placer mon aile plus haut . Pour ce faire, je me recentre sur le déco pour profiter de plus d'espace dans le sens de la hauteur. Cette fois, j'ai le sentiment que la première tentative sera la bonne compte tenu que ma marge de maneouvre s'en trouve plus importante pour ma sécurité et réussite au décollage. C'est parti, je fais face voile et me lance dans une course d'envol où ma prise en charge est correcte en quelques pas avec de bons appuis ventraux pour bien charger mon aile pour être au top de ce qu'elle peut me renvoyer comme infos. Décollage fait, je vole et ne tarde pas à bifurquer vers ma droite pour m'appuyer sur du dynamique. Je me retrouve assez rapidemlent au-dessus du décollage. La masse d'air est clean et les thermiques ne sont pas des canons mais plutot des très gentils pour lesquels il faut les gérer avec finesse pour grimper dans la masse d'air.
- Voile: DELTA 4 (Ozone) - Triangle : 9km - Altitude max: 1079m - Gain : 296m - Temps de vol : 00:37:26s - Vario max : 1.7m/s
Laurent et Denis au Déco Sud de Cervioni
06.10.2024 - Cervione A Nevera ( France / Corse)
J'embarque mon aile Ikuma 3P pour le déco Sud de Cervioni en compagnie de Michel qui nous fait le navetier, Laurent qui enfin peut revoler et Denis Allemand. Quand à Gwenael, Gloria sa passagère et Pascal, ils font une partie du parcours à pieds en démarrant la rando du village de Cervioni. C'est en fin de matinée que nous nous retrouvons tous au décollage Sud de Cervioni. C'est vers midi que nous commencons à décoller
- Temps de vol : 00:22:35s - Voile utilisée : IKUMA 3P (Niviuk ) - Distance parcourue : 6km - Altitude maximum : 927m
04.10.2024 - Tox
Sur ce site de décollage non officiel, se trouve la chapelle Santa Brigida A Punta. C'est accompagné de mon ami Laurent que je me rends sur les lieux. Si les conditions de vol sont correctes ça ne fera que mon deuxième envol sur ce site depuis que je viens en Corse. Laurent me donne quelques conseils adaptés aux conditions aérologiques du jour, à savoir qu'il y a du Nord-Est qui vient alimenter le déco. Je regarde aussi le ciel et j'y vois des oiseaux enrouler devant et à droite du déco à savoir en Sud. Je me dis qu'une fois en l'air je pourrais tenter d'essayer de ce côté pour glaner de l'altitude. Mon premier levée d'aile me tire fortement en arrière et l'aile me dépasse en faisant une frontale, je ne cherche pas à récupérer l'aile pour la laisser tomber au sol afin de tenter une deuxième l'aile propre avec contrôle maintenant que je suis averti .... .. Lorsque l'aile monte, les conditions sont les mêmes je me fais tirer en arrière avec la même énergie mais cette fois-ci j'amorti mieux mon déplacement ert le contrôle de l'aile est bien meilleur. Une bonne tempo je veux faire alors que je suis toujours dos à la pente que je réussi avec un bon freinage symétrique et une voile l'aile bien calée au-dessus de ma tête je pivote sur ma droite pour faire face à la pente. Je prends le temps de bien sentir l'aile flotter en étant solide et une fois fait, je mets en place de bons appuis ventraux pour lancer ma course d'envol. La prise en charge est immédiate et je me retrouve très rapidement plus haut que le décollage en avant de celui-ci. Je me dis que c'est bon je vais pouvoir jouer. Je me rapproche du relief à gauche du déco et de toiute évidence ça joue mais je me montre curieux d'aller voir où les oiseaux montaient alors je me dirige plus en sud et je cherche. là, ça ne monte plus vraiment mais j'insiste à cherche plus en avant côté Sud mal m'en pris je vois bien que ça ne marche et je me pose la question de me refaire un petit plaf en Est du déco où ça marchait bien mais têtu comme je suis je veux continuer à explorer plus largement afin de trouver l'ascendance. Cette rigidité psychique à croire va me couter le vol. Il est trop tard pour le refaire, je n'obtient plus aucun bip positif de mon Syride évolution. J'ai compris qu'il ne me restait plus qu'à préparer mon poser sur un terrain dont je ne connais pas, à contrebas du décollage.
- Décollage - 11h48 - Temps de vol : 00:09:43s - Voile: IKUMA 3P (Niviuk ) - Triangle : 1km - Altitude max: 586m
29-09-2024 - Cervione Scupiccia
C'est mon premier jour vol libre depuis que je suis arrivé sur l'île. Une partie des pilotes se donnent rendez-vous à E Piane qui est le terrain d'atterrissage officiel et l'autre partie dont je suis à Aqua Nera pour y laisser un véhicule pour celles et ceux qui viendraient poser à la plage pour finir leur vol. Pour cet évènement Michel Raffin d'Orbino qui ne vole plus depuis quelques temps et Laurent de Casa Pierragi qui reste pilote actif mais qui ne peut voler pendant quelques jours sont venus spécialement pour moi afin de nous voir et me faire la navette si besoin. Du coup le plan est de monter avec la navette du club Cime Ale qui se trouve à E Piane pour monter à Scupiccia et c'est avec ma voiture que l'on s'y rend Michel se chargera de la ramener à la plage pour mon autonomie après le vol. Arrivés à E Piane, c'est Charlie qui nous invite à monter dans la navette et nous voilà partis pour le décollage. Une fois arrivés au déco de Scuppicia, la navette y est laissée et sera récupérée par la suite cart tous les occupants du véhicule ont leur aile pour décoller. Les conditions aéro-météorologiques ne sont pas des meilleures mais nouis devrions nous amuser un peu. En tout cas, j'ai bien l'intention de faiore mon vol avec du plaisir du début jusqu'à la fin. Le premier qui décolle est Pascal qui était déjà en place lorsque nous sommes arrivés. Pascal ne monte en véhicule que très peu préférant la marche pour se décharger de toutes contrainstes de véhicule dans la mesure du poissible, il avait fait la montada au déco à pieds. Décollent ensuite Yves, Charly ... D'autres pilotes sont en attente. Je me fais une petite place sur le déco pour étaler mon aile en vue de décoller rapidement et de ce fait j'ai un peu griller la politesse à certains pilotes qui attenda ient que le place se libère pour étaler la leur mais généraement décoller ne me prend pas une plombe sauf que ce jour-là, aux deux premiers lever d'aile mon aile était cravatée ce qui m'a un peu agacé. La troisème fut la bonne et me voila à m'élancer vers le vide pour voler avec mon aile Ikuma 3P et ma sellette arrowP. En Caméra, je teste l'insta360 X3 que j'ai fixé sur mon casque light blanc dont la fixation se trouve à l'avant du casque. Je m'éloigne du décollage en directiondu relief qui se trouve à ma gauche en Nord avec comme point de mire le drapeau Corse qui est pour moi un repère. Il y a du Nord Est et je me méfie lorsque je glisse près du relief pour ne pas trop m'enfoncer. A l'approche du drapeau mon vario commence à biper positivement, je cherche alors la zone la plus généreuse mais je ne suis pas encore au bon endroit alors j'utilise les quelques zones ascendantes que je trouve pour grapiller des mètres tout en me rapprochant du relief qui se trouve au vent du Nord-Est. C'est à cet endroit que je cherche à enrouler les ascendances. J'arrive à grapiller près de deux cents mètres au point d'arriver presque aussi haut que la crête. Satisfait et ne désirant pas à en faire plus, je décide de me diriger vers le bord de mer avec une belle petite transition en survol de plaine jusqu'à la plage près du resto Chez César où Yves avait posé un peu avant moi (son aile était déjà pliée). avant moipour ensuite y boire une bière avec mes amis insulaires. Enfin mon premier vol du séjour a pu se faire, j'en suis très satisfait et suis déjà en attente des prochains si la météo veut bien. Vient ensuite poser d'autres pilotes insulaires et touristes.
Décollage - 11h31 - Temps de vol : 00:27:01s sous DELTA 4 (Ozone ) - Triangle : 9km - Altitude max: 1030m
06.09.2024 - Mont Court
- C'est vers les 12h00, que je fais mordre la masse d'air au bord d'attaque de l'Ikuma 3P après être monté à pieds. C'est un bien sympathique randovol que j'ai eu plaisir à m'offrir (cf randovol 2024).
Temps de vol : 00:26:09s - Triangle : 5km - Altitude maximum : 1804m
01-09-2024 - Campé - Déco 'Robert Giordano'
C'est avec Sylvain Verdier et Henri Gaglio que je monte au déco de Robert Giordano. Le premier à décoller est Sylvain, puis Henri il qui trouvent tous deux assez rapidement de quoi s'élever dans la masse d'air pendant que moi je cherche à décolller. Lorsque je lève mon aile, je ramasse au passage des suspentes sur le sol des brindilles qui viennent se coincer entre les suspentes. Je me dois de les enlever avant de tenter de décoller mais à cela s'joute des conditions aérologiques moins facilitantes pour décoller. En effets, la brise au déco n'est plus aussi bien organisé. Je me dois d'attendre qu'une bouffe vienne remuer un peu tout ça. J'attends donc le bon moment pour lever l'aile au-dessus de moi, et enfin je peux décoller. Je dois mettre la patate pour donner l'énergie qu'a besoin moins aile pour voler. Une fois envol, je me dois de trouver de quoi monter dans la masse d'air. Je ne trouve pas aussi facilement que cela, mes amis ont eu moins de mal que moi à se hisser en direction Ouest pour le Mangiabo. A force de batailler, j'arrive à atteindre le haut du relief. Je vois que depuis notre arrivée, le ciel a bien changé ... il se charge de plus en plus et les nuages qui se développent assez rapidement prennent une coulour qui ne me me plaisent pas vraiment du coup je pense aux prévisions du jour, elles annoncaient des orages dans le secteur assez tôt dans l'après-midi. Je continue malgré tout à prendre du gaz en enroulant un bon thermique. Au fil de ma montée, je me rapproche du premier sommet qui se trouven en Ouest là où j'avais vu Henri s'écarter du local pour probablement se rapprocher du Mangiabo dont son sommet est de 1821m. Des deux pilotes je ne vois plus personne, à contrario, je vois bien les nuages qui marquent un début de forte activité et dont certains ont une base qui commence à m'inquièter. C'est à cet instant que j'aperçois l'aile d'Henri qui surgit de nulle part en étant situé bien haut de dessus la crête de Gonella.
- Décollage à 12h29 - Temps de vol : 33" 01' - Voile utilisée : DELTA 4 (Ozone ) - Distance parcourue : 9km - Alt. max. : 1893m
Vue aérienne sur le Mangiabo
12.08.2024 - Cime du Bec
C'est de Cagnourine que je décolle vers 13h00 avec mon aile Delta 4 d'Ozone. Cette année, les décollages avec l'intention de crosser se font inhabituellement tardivement (bien après midi) alors que les années précédentes les conditions sont présentent dès 11h00. Au décollage, il y a Lucien, Maurice, Henri et Mario. et se prépare pour s'envoler aussi. Je suis le premier à être prêt pour tenter de faire un beau vol en regard des conditions aérologiques prometteuses et je décolle en fusible. la radio que j'avais chargé la veille pour l'occasion ne marche pas correctement. Décidément j'ai un problème avec la radio, alors je la déconnecte et me dis que je vais voler sans et feeling ... c'est à dire que je vais voler sans tenir compte des autres, je vais faire mon vol comme si j'étais seul et je verrai bien ce que je vais en sortir. Les conditions commencent à peine à se faire sentir malgré l'heure. 3 à 4 zonages au pourtour du déco à la recherche du thermique et je me dis que ce n'est pas gagné quand soudaine un thermique déclenche et me fait sentir qu'il est bon à prendre. Je suis dans le bon cycle et j'enroule au mieux pour me hisser à une altitude où je peux jouer à cherche à grimper de manière plus aisée. Il faut savoir que sortir du trou Cagnourinien n'est pas chose aisée aussi, quand il y en a un, il vaut mieux ne pas le lâcher surtout s'il est exploitable en le serrant bien. En quelques minutes, je prends de la hauteur mais d'une manière différente des fois précédentes. ce n'est pas au relief que je m'appuis pour me hisser dans la masse d'air mais plutôt au-devant de celui-ci. Rapidement je me retrouve plus haut que le sommet de la pyramide alors je me laise dériver vers la deuxième bosse et à partir de là, je cherche à optimiser mon ascension en centrant au moins la zone ascendante qui fait biper mon varion de manière plus ou moins discontinue. Ainsi, je me hisse à près de 2300m d'alt. Alors que je ne suis qu'en approche du sommet du Mont Court dont son altitude est de 1719m. Waouh, je vais pouvoir glisser directement vers le Fort Tabourde sans avoir à chercher le thermique du Mont Court (quel gain de temps). Je glisse donc vers le Fort Tabourde en passant par la Baisse de Lagouna ( 1682m) avec 2250m d'altitude puis la cime de Tavan (1912m) avec 2190m et le Fort tabourde en planant à 2150m. Delà, je glisse en prenant cap vers la crète de Gata qui mène au Fort pépin. Cette crête j'y arrive avec un peu moins de 2100m et là, j'enroule un thermique qui me hisse à heuteur du Fort pépin. Ce thermique-là, je ne le lache pas et dérive avec en Nord-Ouest pour atteindre la Cime du Bec Roux (2210m) avec 2830m de gaz. Je suis à cet endroit entre la France et l'Italie. L'horizon est ouvert à moi et mon aile. Je scrute le ciel et ses horizons. Côté ouest il y beaucoup de nuages et de zones d'ombre, en Est c'est beaucoup plus clair et ensoleillé. La Cime du Bec dont j'avais fait une fois son survol m'est facile d'accès puisqu'il ne se trouve (son sommet) qu'à 2301m d'alt. mais je m'attends à perdre pas mal d'altitude en regard du souvenir que j'en ai lors de ma première visite d'il y a 2 à 3 ans. C'est avec un plaf à 2582m que j'arrive en aplomb sur la cime du Bec, j'ai de la marge bien que tout au long de la transition ce ne fut que du négatif et au sommet et son pourtour rien ne me dit que je peux me refaire un plafond plus généreux. De ce point, je lorgne encore du côté Est et ce sont les rochers de Valle Freggia qui me tentent avec l'espoir d'y trouver de quoi glaner des mètres d'altitude mais rien ne me dit que j'y parviendrai et si je m'enterre ça deviendrait compliqué pour revenir à bon port. Je rappelle que je ne suis pas crosseur du tout et que partir à l'aventure n'est pas mon leitmotiv (condition plus ou moins sine qua none pour le crosseur digne de ce nom et pour lequel il arrive souvent de revenir à pied, ou en voiture ... merci les gens). Je m'assure donc la sécurité en me faisant un retour vers le Fort Pépin en prenant soin de me placer plus en Sud cette fois-ci pour ne pas me retrouver sous le vent d’Ouest en approche du relief avec la perte d’altitude que ma transition devrait générer. Au milieu de la transition c'est du -2.3m/s que je trouve. J'arrive au Fort pépin avec un bon 150m de gaz au-dessus de lui et je retrouve le thermique à son versant ouest, le même que celui que j'avais exploité auparavant et qui m'a conduit à la Cime du Bec Roux. A cet instant de mon vol, je songe rentrer au bercail. Vu la présence du thermique, j'en profite à prendre 200m de gaz supplémentaire m'offrant un plaf à 2695m pour aller transiter tranquillou en direction du Mont Court où j'arrive avec 2275m de gaz (j'ai perdu 400m et des brouettes). A partir de là, ne cherchant qu'à descendre ce ne fut qu'une dégradation de mon altitude pour aller poser à Cagnourine où j'ai trouvé mes amis du club au sol me félicitant de ma perf pour avoir pris le bon ascenseur au bon moment. En effet, en dehors de Maurice Baldi qui a su sortir du trou et faire comme d'accoutumé un magnifique tour, Henri, Lucien et Mario n'ont pu s'élever suffisamment dans le ciel pour s'échapper. Ce fut en effet des conditions très particulières durant lesquelles, avec seulement du thermique, ils se sont fait chahuter plus avec les dégueulantes des thermiques que les ascendances. A ce propos d'ailleurs, au retour j'ai failli me faire enterrer au point de ne plus pouvoir reposer au décollage. C'est avec beaucoup d'abnégation et de volonté à m'accrocher et sans le lacher au seul thermique que j'ai trouvé pour m'hisser suffisamment haut pour rentrer poser au déco de Cagnourine sous les yeux de mes amis. Ouf ...j'étais parti avec la ferme intention de faire quelque chose aujourd'hui et je peux dire que j'ai réussi mon coup. J'ai retrouvé en moi un peu d'esprit à aller plus loin.
Triangle : 16km (26km en distance cumulée) - Plafond : 2853m - Gain : 1746m - Temps de vol : 01:05:53s - Vario max : 4.3m/s
10.08.2024 - Tende
En ce jour, ce n'est que dans l'après-midi que je rejoins le décollage de Cagnourine à Tende pour voler sous une aile de Parapente. J'y monte essentiellement pour faire voler mon petit fils Kaïs. Mais avant je fais un vol de fin de journée avec l'Ikuma 3P et mes amis Thierry Servetti, Morgan Vallat le Suisse, Nicolas Simmen, Mario Limon ... Les conditions sont calmes, ça volete quoi. Il y a encore du thermique, ils sont doux ce qui impose du coup à ce que le pilotage soit fin pour exploiter au mieux ce qui permet de rester en sustentation dans la masse d'air. A ce jeu là, je tire mon épingle du jeu jusqu'à me hisser tant bien que mal au-dessus de la Pyramide puis d'aller zoner vers la deuxième bosse qui est souvent le chemin à prendre pour rejoindre le Mont Court. Nicolas parvient à me rejoindre. Thierry et Morgan se tentent aussi mais au fil du temps les conditions faiblissent jusqu'à ne plus pouvoir aller plus haut pour ceux qui sont quelques dizaines de mètres plus bas. Je me dis qu'il est temps que j'aille poser pour tenter le vol biplace avec mon petit fils Kaïs. Une fois posé, je troque mon aile Ikuma pour le BiGolden 3 et voilà que j'embarque Kaïs dans mon délire, à voler sous une aile de parapente pour son baptême de l'air. C'est mission réussie pour Kaïs et moi ! au grand bonheur de ses parents (cf biplace 2024).
Kaïs avec son Papé avant l'envol
06.08.2024 - Rochers de Gata
En cette journée du 6 aout ce sont trois vols que j'ai effectué en décollant de Cagnourine. Le premier m'a donné plaisir à voleter autour du décollage sans pour autant survoler la pyramide, c'était en fin de matinée et j'étais seul dans la masse d'air. Pour autant, j'ai atteint près de 1500m de plafond max sur ce vol là (1486m d'alt.) et le vol a duré 68 minutes) avec un vario max à 2.7m/s. Durant ce vol j'ai vu arrivé mon ami Dom avec son Ikuma 2 du coup je suis allé posé en me disant que j'allais accompagné d'une autre aile pour mon prochain envol. L'avantage en posant et que mon aile est déjà prête à décoller ce qui n'est pas le cas pour mon ami. Pour ma part, il me faudra des conditions plus fortes et un vol plus engagé pour aller plus loin. C'est donc avec mon ami Dom que je vais partager la masse d'air durant ce deuxième vol qui débute à 12h30 pour une durée de 30 minutes et qui me mène à survoler la Pyramide. Une fois posés, les conditions sont devenus bien trop fortes pour continuer à voler. Nous faiusons une pose en allant à mon Chabotou le temps de se restaurer un peu et ensuite, noius retournons au décollage. En cette fin d'après midi, nous retrouvons à 4 sur le déco: Maurice, Mario, Dom et moi. Les condirtions sont encore bien soutenues mais on sait que ça va progressivement faiblir. Mario ne se sent pas de décoller avec des conditions aérologiques encore trop fortesi, Dom quant à lui, nous fait le fusible avec son Ikuma 2, Maurice avec son Ikuma 3P enchaine derrière lui et à une vitesse éclair se retrouve rapidement à suirvoler la pyramide. Je ferme le bal des décollages avec ma delta 4. Dans la précipitation, J'ai quelques ratés au décollage du coup Mario pour faciliter ma levée d'aile me vient en aide en soulevent le bord d'attaque pour que l'aile morde mieux l'air. Décollage effectué (merci Mario), nous voici à trois dans la masse d'air à vouloir en découdre avec des conditions aérologiques encore bien tonique. Pour autant, je m'en sors péniblement à sortir du trou pour aller taper sur le mont Court bien après Maurice qui nous attendait vbisiblement. La pyramide atteinte, je cherche à rejoindre Maurice en passant par la deuxième bosse où jgénéralement on y trouve toujours quelque chose pour gratter au moins 100m. Voyant que je n'arrive pas à prendre plus de hauteur que ce que je venais d'atteindre je finis par lacher la deuxième bosse pour me diiger sur le relief du Mont Court. J'arrive sur la pente du mont Court avec une cinquantaine de mètres en dessous du sommet. Je me dois de trouver de quoi monter au moins au niveau du sommet. Je dois en quête de zones ascendantes. Je m'appuis sur la pente pour choper le dynamique pour ne pas perdre d'altitude tout encherchant d'éventuels thermiques si présents. J'aperçois Dom qui arive à son tour, encore plus bas que lorsque je suis arrivé sur ce relief. Je lève les yeux, Maurice plus haut que nous et après nous avoir attendu décide de lâcher le mont Court en prenant cap de toute évidence vers les Rochers de Gata. Le choix de se diriger vers Gata est la seule option si l'on veut continuer à visiuter un autre relief plus en Nord. En effet, les autres plus lointains sont envahis par les nuages. Je ne tarde pas à le suivre et observe comment il arrive sur ce relief. Il arrive bas, au pied des rochers et parvient à se hisser au-dessus de ce relief. Dans la transition je prends soin de réduire au maximum ma perte d'altitude. J'y arrive que très légèrement plus bas que lui. En approche de Gata, mon bip se remet à donner des signes de portance ce qui me rassure. Je viens m'appuyer au même endroit que Maurice mais je ne vais pas passer par le même endroit. Je vais faire le choix de faire l'essuie glace devant les parois rocheuses de ces rochers jusqu'à ce que je me retrouve à survoler cette barre rocheuse. Au-dessus de celle-ci j'y trouve des ascendances que je cherche à mon niveau d'enrouler au mieux. Ca me réussi assez bien mais je n'arrive pas à me hisser à la hauteur de mon ami Maurice qui n'était pas loin de rejoindre le Fort Pépin mais en tout cas, il était à son niveau sinon plus. Si il n'y est pas allé c'est tout simplement que le relief de Pepin se faisait avaler par les nuages bien sombre. Voyant cela, j'abandonne l'idée de continuer à grapiller de l'altitude et fais le choix de plutôt m'éloigner de cette zone pour un retour vers le village pour aller poser. En effet, le ciel s'obscurcit de plus en plus par la nébulosité grise voite très sombre sur certaines zones. Je suis satisfait de ce vol, d'avoir pris l'option Gata qui était en fait la seule à exploiter finalement. Dom quant à lui, a quitté le Mont Court pour un retour à la case départ. On s'est tous trois retrouvés à l'atterro contents d'avoir pris envol. Au prochain vol.
Distance : 10km - Distance cumulée : 24km - Plafond : 1962m - Gain : 833m - Temps de vol : 52:05s - Vario max : 2.3m/s
05.08.2024 - Tende
Le seul vol de la journée n'a pu se faire qu'en fin de journée. Ce n'est qu'après 18h que j'ai pu faire mordre la masse d'air à mon aile. Mais comme on dit il faut savoir attendre pour avoir le meilleur et dans ce cas précis, ce sont des conditions de vol de restitution que j'ai pu apprécier en l'air avec Nicolas Simmen. Un vrai régal de douceur où j'ai eu à piloter mon aile dans du très très petit.
Tende en vol de restit
01.08.2024 - Tende
Dans l'après-midi de cette journées, ce sont 2 envolées que j'ai effectué avec ma Delta 4. Le meilleur vol fut fait en début d'après midi quand le soleil était au zénith. Les conditions aérologiques étaient très saines masi il y avait trop de stabilité pour espérer faire un grand vol. Après près de 50 minutes de vols je pose les pieds au sol non pas sans difficulté car la brise de vallée est tout de même très tonique. Après une belle pause, je revviens faire le vol de fin de journnée. Il fut si beau que j'ose espérer bénéficier d'un vol de restitution mais il n'en fut rien.
Reliefs de la Haute Roya
06.04.2024 - Férion Ouest
C'est reparti pour le Férion. J'y ai pris abonnement pourrai-je dire, en 4 jours ce sont 3 décollages du Férion que je vais me faire si les conditions sont là pour cela. C'est avec Jean Baptiste, Alex Banse et Walter Lallemand que je monte au déco du Ferion. Jean-Baptiste ouvre les décollage suivi de Walter et Alex. Je ferme les envols pour un vol bien sympathique. Je me demande bien où sont passé les parapotes, je ne vois personne en l'air. Je fais mon vol comme d'hab en toute tranquillite je fais voler mon aile et j'enroule quelques petites bullettes. Pas de plaf extraordinaire mais j'arrive tout de même à me retrouver au-dessus de la crête, je survole la chappelle Saint Michel et me rapproche au plus près du sommet du Mt Ferion sans pour autant le survoler (cf randovol 2024).
- 13h17
- Temps de vol : 00:14:17s
- Voile utilisée : IKUMA 3P (Niviuk )
- Distance parcourue : 5km
- Altitude maximum : 1313m
05.04.2024 - Mont Férion
Un nouveau randovol pour le même relief mais cette fois-ci en mode solitaire. La journée est belle et les conditions sont douces voire même trop faibles au décollage. il m'est nécessaire avec mon Ikuma 3P d'envoyer fort dès les le démarrage pour apporter suffisamment d'énergie à mon aile et assurer une porise en charge rapide (cf randovol 2024).
- Décollage à 11h37
- Temps de vol : 00:13:10s
- Voile utilisée : IKUMA 3P (Niviuk )
- Distance parcourue : 4km
- Altitude maximum : 1278m
- Instrument utilisé : Nav (v3.42)
03.04.2024 - Férion Ouest
Aujourd'hui c'est un randovol que je partage avec Alex Banse. Nous partons du parking des chevaux et prenons le classique itinéraire pour rejoindre le décollage du Mont Férion. Arrivé au déco, je contaste que le décollage est jouable mais n'est pas idéalement alimenté. Je fais le choix de décoller en premier et une fois en l'air je cherche les thermiques. J'en trouve un qui se trouve dans devant le déco puis plus vers la crête. Au fur et à mesure que je prends de l'altitude je sens que le météo présent forcit. Il était prévu de l'Ouest soutenu en altitude mais je ressens plus du Nord Ouest dans cette zone. Ne voulant pas me faire agité par du vent météo, je ne cherche plus à monter mais m'éloigner du relief. En prenant cap sur le stade dans la transition, je me fais remuer sous mon aile, la masse d'air eest de toute évidence turbulente par le Nord-Ouest qui me met sous le vent. Des thermiques sous le vent déclenchent en s'animant avec générosaité. il est facile de monter mais plus je monte et plus je ressens le vent météo. les préviz ne se sont pas trompé c'est toniquement véloce et je n'ai pas envie de me battre avec ça. Je m'emploi à me replacer dans une masse d'air plus docile en cherchant à descendre plutot que de monter. je fais les oreilles et même avec les oreilles le bip de mon vario chante. Je cherche alors les zones descendantes pour y rester afin de me faciliter la perte d'altitude. Mon parapote Alex quant à lui semble apprécier la montée mais je ne suis pas sûr qu'il ait compris que plus il prendra du gaz et plus il s'expose au vent météo. A chacun ses choix, le mien est de descendre pour aller poser sur le grand prè. Une fois posé, je regarde Alex s'approcher du terrain où la masse d'air est cool. Une sois posé au sol, il s'empresse de me dire de manière enjouée que je m'étais cagué dessus pour avoir refusé de monter dans la masse d'air.... Et là je me dis, que nous n'avons pas eu la même analyse... je peux comprendre alors l'augmentation du nombre d'accidents si l'analyse de la masse d'air dans lequel nous évoluons avec nos PUL (planeur ultra léger et qui dit léger dit sensible au différentes forces) n'est pas faite. Je prends le temps de lui expliquer le pourquoi du comment de ma décision à redescendre dans une masse d'air moins exposé au vent météo, après chacun fait ce qu'il veut en âme et conscience. Après pliage, il ne reste plus qu'à remonter au parking pour récupérer le véhicule d'Alex. Au prochain randovol !
- Décollage: 12h18
- Temps de vol : 20:09s
- Voile utilisée : IKUMA 3P (Niviuk )
- Distance parcourue : 4km
- Altitude maximum : 1418m
22.03.2024 - Gourdon
Ce jour là je vole en radio avec Emmanuel Louarn. Nous décollons tous deux de l'Embarnier et faisons notre vie pour grapiller de l'altitude. Au départ j'ai un peu ramé à trouver le thermique qui va m'apporter une altitude convenable pour quitter les lieux vers Cavillore. L'aérologie est assez soutenue en météo. Emmanuel se bat également pour monter et partira aussi sur cavillore. Parti plus bas, la masse d'air le contre un peu trop ce qui n'améliore pas sa finesse et finit son vol en posant aux Abeilles. En ce qui me concerne, sur Cavillore je ne trouve rien de très généreux qui me donne envie d'enrouler. Les zones ascendantes que j'ai rencontrées, je les ai exploitées pour avoirr suffisamment de marge pour glisser jusqu'à l'atterrissage des Vallettes. Posé satisfait.
- Décollage à 11h51- Temps de vol: 29:42s - Voile utilisée : DELTA 4 - Distance parcourue : 7km - Alt. max: 1500m - Gain : 335m - Vario max : 2.6m/s
Cavillore
20.03.2024 - Gourdon
Les préviz et la météo du jour propose une aérologie compatible avec le vol libre voler et comme j'ai la dispo, je me rends sur Gourdon pour partager un moment de vol libre avec Alex Bense. J'embarque avec moi l'Ikuma 3P et l'ArrowP. Le rendez-vous est fixé aux Vallettes avec Alex que j'embarque dans ma voiture pour monter jusqu'au parkong du déco de Gourdon. Il y a du monde sur le déco moquette qui s'anime soit pour décoller soit pour se préparer à cela. Nous, nous montons au déco de l'Embarnier. Là aussi, il y a pas mal de pilotes qui se préparent pour décoller. Le manque de place pour étaler mon matos et me préparer me fait monter au plus haut du décollage où j'y trouve l'espace qu'il me faut. Alex se place devant. Une fois prêt, il ne me reste plus qu'à contourmer par l'extérieur droit une fois l'aile levée. Un exercice que j'affectionne pour le contrôle de l'aile et de mon déplacement. C'est tranquilou que j'arrive au bas du déco où je dois maintenant engager la course d'envol. C'est parti, je décolle et je vole à 11h15 selon le syride que j'ai allumé en vol après avoir décollé. Mon objectif est maintenant de prendre du gaz pour étendre tant soit peu mon domaine de vol . Quelques minutes plus tard j'aperçois Alex qui se promène dans la masse d'air tout en longeant comme moi, le relief qui mène vers la boule en Ouest à la recherche d'ascendances. Ce jour je pense avoir un plaf suffisant pour trabsiter jusqu'à Kennedy mais il faut me résoudre à revebir sur l'Embarnier pour ne pas me risquer à vacher dans le bois de Gourdon. En effet durant la trabnsition, je n'ai pas senti une masse d'air porteuse et le taux de réussite je l'ai évalué à 40%. J'ai du me refaire sur l'Embarnier mais le plaf est sensiblement le même. Pour autant je renouvelle l'expérience pour reévaluer la masse d'air et c'est à mi parcours que j'abandonne de nouveau l'idée de rejoindre Kennedy. Je prends cap cette fois-ci sur le village de Gourdon et au cas où ça foire j'aurai toujours la possibilité de revenir vers l'atterro des Abeilles. Ma transition se passe pas trop mal et quand j'arrive à l'approche du village je suis à une hauteur de 950m. Je dois trouver de quoi monter avec comme objectif premier de raccrocher Cavillore et voir ce qui se propose. Je m'attache à prendre du gain au-dessus du village. Cela ne se fait pas le doigt dans le nez. Je m'applique à comprendre comment la masse d'air se déplace avec les thermiques qui ne sont pas très puissants. Finalment, je comprends qu'il se déplace plus en arrière du village de sud Est en Ouest à quelque chose près. Plus je monte et plus ça devient facile, mieux organisé. Je retrouve Alex sur les barres de cavillore qui cherche aussi à monter. C'est à 1357m d'alt. que je décide à rejoindre le déco de Gourdon pour aller y poser mon aile et avoir la voiture juste à mes côtés. Dans la foulée Alex a suivi. Il venait de poser quand je me présente sur le plateau en arrière du déco où se trouve une manche à air tout près de la piste. ce fut pour moi, un vol bien sympa.
- Temps de vol : 51:35s - Voile utilisée : IKUMA 3P (Niviuk ) - Distance parcourue : 9km - Altitude maximum : 1499m avec un gain d'environ 300m - Mon vario GPS me donne 3.1m/s max avec une distance cumulée de 22 km.
16.03.2024 - Tende
Une superbe journée était annoncée la veille par Maurice Baldi et du coup, j'ai retardé mon retour sur Nice pour être présent ce jour. Le soleil est bien là avec un ciel bleu pur. Du Nord Ouest est annoncé en altitude avec brise de Sud Sud Est ce qui est de bonne augure pour de prévisibles et toniques thermiques. Il y a du monde de prévu aujourd'hui, et ce sont 6 pilotes qui sont sur le terrain avec Sylvain qui est rentré la veille de la Nouvelle Calédonie. Je suis heureux de voir autant de monde d'un coup en ce début de saison. Il y avait Maurice Baldi, Nicolas Simmen, Nicolas Magand, Mario Limon et Sylvain Verdier qui sont venus voler. Quand j'arrive, Mario est déjà sur la planche de décollage et la brise est déjà bien installée. Je me prépare pour l'envol et m'empresse de décoller. Une fois en l'air, j'aperçois le toyota Hilux de Nicolas qui monte. Du véhicule il en sortira les deux Nicolas. S'ensuit juste derrière Maurice puis Sylvain. Je repose au déco juste pour les saluer et quelques minutes après je redécolle pour les attendre en l'air. Si la brise est bien présente jed ne peux pas dire que les thermiques sont installés. Je me dois de batailler pour tenter de m'élever dans le ciel mais c'est encotre trop haché pour espérer enrouler quelques chose de sérieux. Au fil du temps, les pilotes entre en scène et c'est Nicolas S. sous son Ikuma 3P qui se retrouve en l'air pour partager la masse d'air avec Mario qui vole avec la Rush 6 et moi sous mon Ikuma 3P . Pour eux aussi c'est compliqué à monter et cherche les thermiques tut comme moi. On vole donc dans un périmètre assez restreint. Il convient de se surveiller pour ne pas se percuter. C'est d'ailleurs ce qui a failli m'arriver avec Mario si je ne m'étais pas écarter au dernier moment alors que j'étais en virage pour prendre une zone ascendante. Petit à petit les conditions forcissent et les thermiques s'installlent mais comme d'hab il faut batailler pour sortir du trou. Je m'accroche comme je le peux et joue avec ces coups de "vent" qui me font gagner des mètres et je me rapproche ainsi du relief "Pyramide". J'attends le bon coup de vent pour me jeter vers le relief tout en restant dans la zonne ascendante afin d'évier de dégueuler dans les arbres qui arborent le relief qui se trouve la base de la Pyramide. Yes !! j'y parviens à man hisser au-dessus des arbres. C'est un coin que je connais bien et de ce fait, je sais comment m'y prendre pour voler tout près de cette pyramide rocheuse. Je finis par me retrouvrer au dessus-de son sommet et à partir de là il me faut trouver le thermique qui va m'extraire de ce lieu. Je cherche le thermique que je trouve assez rapidement en passant sur la crête qui mène à la deuxième bosse. Une fois trouvé, je ne le lache plus !! il me monte en me décalant rès lègèrement en arrière entre la pyramide et le sommet du Mont Court. Je le garde jusqu'à ce qu'il me monte à 2276m. Je suis bien au-dessus de l'altitude du sommet du Mont Couirt que je ne rejoins pas. Je sens qu'il y a du Nord_Ouest qui souffle gentimentc'est la raison pour laquelle je ne vais pas survoler le Mont Court. En effet, quand je m'y rapproche l'aérologie est beaucoup plus instable, mon aile est beaucoup plus secouée, pas question de m'endormir dessous l'Ikuma 3P qui a tendance déjà à être vivante. Je trouve d'ailleurs cette aile très agile et performante dans ce type d'aérologie mais il faut être assez présent dessous. Me sentant de moins en moins à l'aide alors que ça bipe en continue donc une possibilité de faire un bonus plaf, je finis par quitter les lieux pour prendre cap sur le sommet Bergiorin. Je me retrouve large pour passer le relief une fois la transition faite en passant au-dessus de la vallée de la Pia mais dès que j'ai passé le relief du Bergiorin, je suis dans une masse d'air turbulente et je perds pas mal de gain. Je sens comme si j'étais sous le vent du météo alors que je suis au-dessus du relief. Je considère alors que je ne suis plus abrité par la brise de vallée qui contenait le météo du Nord ....
L'équipe du Jour
13.03.2024 - Mont Court
C'est beau temps et vent en berne aujourd'hui. Les conditions sont réunies pour un randovol aujourd'hui. Pour ce faire, je prend batons de marche, Raquettes à neige, Ikuma 3P et sellette cocon ArrowP (cf randovol 2024).
07.03.2024 - L'Embarnier (Gourdon)
Il y a déjà beaucoup de monde au décollage de l'Embarnier quand j'arrive avec Sebastien Nash. Quelques salutations par-cui par-là avec certains pilotes que je connais, je finis par m'installer au plus haut du décollage afin de me pré"parer tranquillement. Sebastien Hash c'est aussi installé dans ce coin et étale son aile juste devant moi. Nous nous étions dit que j'essaierai de le suivre tout en sachant qu'il n'a pas de vol bien précis et hésite entre aller voler vers l'ouest ou bien vers les Baous d'autant qu'il n'a qu'environ 2 heures devant lui. Il me demande si j'ai une radio mais voila, il est très rare que je la prenne car je ne suis pas crosseur alors je me dis à quoi peut-elle bien me servir. Dans le cas où j'ai à voler avec Sebastien, il est vrai que cela va bien me manquer pour échanger en vol. Il faudra que je me débrouille sans. Beaucoup de monde devant moi, et décidé à prendre l'air, je lève mon aile en étant le plus en arrière du décollage, Sebastien s'apprête également à décoller. Je charge moj aile et me déplace vers ma droite pour passer par l'extérieur de tout ce beau monde. Une fois en vol, je cherche les zones portantes avec l'espor de trouver le thermique qui va m'extraire. A ce jeu-là, Sebastien est beaucoup plus véloce que moi. Je dois donc lever mon regard pour le situer dans l'espace et tenter de suivre sa trace. Je cherche je cherche et je trouve enfin le thermique qui ne va pas trop mal et qui m'extirpe de la basse zone où beaucoup d'ailes évoluent. Concentré à monter, j'en ai oublié de surveiller comment Sebastien évolue dans la masse d'air. Je ne le vois plus. Quand j'atteins une certaine altitude qui me permet de vadrouiller, je prends cap vers l'ouest où je vois une seule aile après le haut Montet, au Nord Ouest du Colle du Maçon. Je me donne cet objectif, rejoindre cette aile seule qui cherche de toute évidence à se refaire un plafond. Il y a une fumée qui est couchée ce qui veut dire qu'il y a un certain météo en basse couche qui vient du Sud. Je n'ai pas encore dépassé le Haut Montet quand je vois cette aile qui abandonne l'endroit du Colle du Maçon pour revvenir. Je continue à maintenir mon cap malgré tout car la zone où je me trouve est portante voire même ascendante mais que je ne cherche pas à enrouler mais plutôt à continuer à avancer dans ces conditions. Ce n'est seulement lorsque je rencontre une zone descendante que je finis pas changer de cap et surtout de revoir mon plan de vol puisque il n'y a pas de Sebastien dans le coin ou en tout cas de visu. Je reviens donc sur ma trace avec l'idée cette fois-ci de passer par Cavillore pour rejoindre le Pic de Courmette. Je survole de nouveau les décos de Gourdon avec une altitude conséquente (+/- 1900m). Etant assez haut, je prends cap directo sur Courmette plutpot que de passer par Cavillore. C'est une longue ligne droite où j'accélère pour ne pas mettre une plombe pour y arriver et surtout pour ne pas trop perdre de gain car durant cette ligne droite, ça descend plus que ce que ça monte. Je n'ai rien trouvé à enroulé. Je me rends bien compte que si j'avais eu ma radio, j'aurai pu savoir où se trouvais mister Sebastien. Je ne vole donc depuis un certain moment plus que pour moi et avec le choix de rester dans le bocal.
06.03.2024 - Gourdon
En cette journée, ce sont 2 vols que j'ai effectué avec mon aile Delta 4 équipée de la sellette Arrow en décollant du décollage de l'Embarnier.
05.03.2024 - Mont Ferion
Comme convenu la veille avec Laurence et Matéo, c'est à Levens que le rendez-vous est fixé avec l'idée de laisser un véhicule près du stade du Grand pré et de monter avec l'autre véhicule au pied du sentier de terre pour y démarrer la rando jusqu'au décollage sauvage du Mont Férion (cf randovol 2024).
04.03.2024 - Baou de la Gaude
C'est parti pour un énieme Baou de la Gaude en rando partant du haut de gattières avec l'Ikuma 3P sur le Dos (cf randovol 2024).
02.03.2024 - Baou de la Gaude
Qui dit Baou de la Gaude dit Randovol. En ce moment je suis frappé du virus Baoudelagaudemania dont je ne recherche aucunement son vaccin pour m'en débarrasser. Je dirai même mieux, j'ai tendance plutôt à aller le caresser comme j'ai pu le faire pour le très terrible virus Covid19 avec l'idée pour lui de me vacciner tout naturellement sans me faire injecter cette mixture ARNm qui fait de gros dégats depuis sans que BFM et les médecins scientiques nous en parlent. C'est l'Omerta ? Bref, j'ai pour ma part plus confiance en la nature qui m'a doté d'un systeme immunitaire qui fonctionne plutôt qu'à ces industriels de la pharmacie qui opére à coup de milliards en vendant leur produit non sans effets secondaires qui peuvent être dramatiques à plus ou moins long terme, après avoir signé une belle décharge déresponsabilisant ceux qui vous assignent à vous faire injecter de ce materiel génétique sous peine d'être un non citoyen jusqu'à en perdre son emploi !!! Revenons donc à nos moutons, le sport, la bougeotte, la nature et faire tout en osmose du mieux que l'on peut avec celle-ci. Composer avec elle, respectons là car grâce à elle nous vivons ! Pour ce qui est du récit Terro-aérien c'est ici: cf randovol 2024
24.02.2024 - Baou de la Gaude
Et oui encore une fois le Baou de la Gaude. Nous devions être 4 pour ce coup-ci, Alex, Matéo, Laurence et moi mais la météo en a décidé autrement. L'incertitude de décoller pour cause de mauvais temps a fait que nous ne sommes restés que 2 (Alex et moi) à tenter tout d'abord la montée à pieds mais sans démarrer la rando du plus bas .... et ensuite l'envol dépendra des conditions du moment (cf randovol 2024).
20.02.2024 - Kennedy
C'est à Vallettes qu'avec Thierry Servetti on s'est donné rendez-vous pour y laisser un véhicule afin de se faire la navette pour la recup du véhicule qui nous monte au déco de Kennedy. J'embarque dans son fourgon et hop en quelques dizaines de minutes nous arrivons au parking du déco. Après s'être préparé pour décoller avec une bonne brisette de face, c'est Thierry qui décolle le premier. C'est à priori une excellente journée qui était annoncée et beaucoup d'ailes sont déjà en l'air et pour certaines bien haut dans le ciel. Certains transitent déjà de Gourdon où se passe une manche. J'enchaine derrière Thierry et me glisse le long du relief à la droite du décollage. Au tremplin Delta supérieur il y a 3 Deltas en place avec leur pilotes à leur côté qui obsergve l'évolution des ailes de parapentes. Je vole près du relief à la recherche du thermique pendant que d'aurtres sont plus en avant du relief et ça semble marcher pour eux mais l'on ne se rrefait pas, je suis un lécheur de pente et falaise alors je vole ainsi jusqu'à ce que je trouve un petit thermique qui me fait prendre de la hauteur et ensuite je vois. En l'air il y a des pilotes que je reconnais et entre autre Alex qui avait décollé de Gourdon. J'enroule un thermique avec lui et ce fut en grand plaisir. Cela se passe près du déco en son dessus et sur le bois de Gourdon. En analysant mon vol, je constate que dans la masse d'air je fais le yoyo avec les montées dans les thermiques et les descentes lorsque j'en sors et que ça plombe bien. Je n'arrive pas à me hisser à 1000m d'alt. Ceci dit, je vois quer les autres pilotes qui m'entourent font de même. Dans notre coin le ciel est clir, bleu alors que plus en arrière (en profondeur dans les terres), le ciel se montre bien chargé par des nuages qui se congestionnent (bien jouflus) ce qui démontre qu'il y a de fortes ascendances dans ces coins là. Dans mon évolution, je croise par moment mon ami Thierry qui progresse tranquillement et commance à jouer avec les thermiques. Il évolue lui aussi au-dessus du déco et fait également le yoyo au gré des thermiques qu'il rencontre, qu'on rencontre. A un certain moment plus en Ouest je vois trois ailes enrouler à la perfection, un thermique qui va bien. Les pilotes ne sont pas des moindre pusqu'il s'agit de Timo Léonetti, Arthur Verrier et Laurent Emery.
19.02.2024 - L'Embarnier
J'ai hésité d'ller voler aujourd'hui mais quand j'ai vu le ciel, ni une ni deux, je préviens mon épouse que je vais voler sur Gourdon. Je réserve pour la premiere fois la navette Icila et me voilà parti pour être pour la navette de 10h38. Ayant eu un problème d'enregistrement pour rejoindre le parking de Gourdon de l'aviation Civile, et la navette pleine j'ai dû prendre celle qui a été commandé pour 11h00 par d'autres pilotes Ouf, il y a de la place. Arrivés au parking, nous devons marché un peu pour rejoindre le décollage moquette de Gourdon et c'est avec encore un peu de marche en montée que nous rejoignons le déco 2 dénommé l'Embarnier. Il est environ 12h, les conditions ne sont pas topissimo en terme d'aérologie, en effet le déco est très faiblement alimentée. Nous devons attendre que les conditions se renforcent un peu pour imaginer qu'en décollant il y a des chances de tenir en l'air. Sebastien Nash décolle en premier et qu'il ne plombe pas, je ne le vois pas pour autant prendre véritablement du Gaz. Je tente le décollage quelques instants après avec une brise qui commence à s'installer un peu mieux et je vire d'emblée vers la boule. En étant parti ainsi, je grapille avec du thermique 132m de gain. Sans chercher à en avoir plus, je file sur Cavillore en enfoncant le barreau pour ne pas perdre trop de temps dans la transition et surtout pour ne pas trop perdre d'altitude. Finalement j'arrive sur Cavillore avec un peu de gaz mais que je perds progressivement au fil de mon avancée le long des barres rocheuses. Arrivée presqu'au bout des barres rocheuses, voyant que des pilotes luttent pour prendre du gaz, je ne les vois pas enrouler un thermique, je décode alors d'aller voir au-dessus du village de Gourdon où se trouve 2 à 3 ailes qui enroulent gentiment au-devant du village. Dans ma petite transition, je rencontre des zones portantes avec un peu d'ascendance que je cherche à exploiter mais j'ai du mal à positiver le gain. Il est vrai que je suis en haut de fourchette sous ma delta 4 et je n'ai pas arrangé cette conditions en ayant accroché mon cocon arrow qui est sensiblement plus lourd que ma Delight 3. Bref je n'insiste pas à jouer avec ce trop petit et continue à avancer vers le village. Quelques bullettes avec du 0.2 à 0.3 font biper mon syride ça porte quoi mais ça ne fait pas monter. La crainte de me louper en perdant plus que ce que j'aurai à gagner, j'ai parié qu'il valait mieux enfoncer les deux barreaux de mon accélo pour rejoindre au plus vite la base du relief du Pic de Courmette avec l'espoir de trouver quelque chose de tonique en ma rapprochanrt du relief et c'est bien ce qui se passe. Toutefois, il me faut d'abord non pas enrouler mais faire des 8 pour exploiter au mieux ces zones qui me font réellement gagner du gain en altitude même si je dois me montrer patient pour en avoir plus. C'est en me hissant au niveau plateau que je commence à enrouler du thermique. Ils me permettent de me déplacer plus en Sud-Est pour au final rejoindre des ailes qui tentent d'exploiter la masse d'air montante où se trouve une barraquette isolée. A cet endroit je ne trouve pas de quoi prendre plus de hauteur pour me rapprocher du relief qui compose le Pic de Courmette. En effet, je ne suis qu'à 873m d'alt. et j'ai beau chercher je ne trouve rien qui m'aille mieux. Sebastien que j'ai rejoins est un peu plus haut que moi, il enroule avec deux autres gars. Je cherche à m'insérer dans ce ballet mais je n'y parviens pas, ce que je gagne, je ne reperds et même pour ces trois pilotes, je ne les vois pas parvebir à monter plus haut. Je décide alors de revenir sur mon itinéraire pour retravailler les thermiques que j'avais rencontré. J'y retrouve du thermique que je peux enrouler avec une autre aile qui se trouve plus bas que moi à cet instant. Je l'optimise un peu que lui et j'arrive à me rapprocher des 1000 m d'alt. (997m). Le thermique me décale vers les terres au-dessus du plateau avec de l'ouest qui me pousse. L'aile qui se trouvait plus bas que moi et qui enroulait le même thermique que moi a fini par le quitter pour aller en trouver un autre plus en avant du relief. Ils sont deux à l'enrouler et cette fois-ci se sont eux qui se retrouvent plus haut au fil de leur travail à enrouler. Je me dis qu'il me faut les rejoindre et je le tente. Je commence à chercher le thermique qu'ils enroulent mais je ne le trouve pas. Je vais donc flairer moi même le thermique qui va me faire reprendre de l'altitude plus près du relief et je le trouve. Ca monte, ça monte tout en se décalant. En bas, dfans le vallon du Loup les fumées sont couchées et descendantes ce qui laisse deviner que la brise s'écoule de de Nord en Sud. Je comprends mieux pourquoi ça ne montait pas quand je cherchais à enrouler en Sud du plateau de Courmettes, nous étions à l'opposé de l'endroit où nous aurions du être pour positiviter notre gain d'altitude. Bref pour moi j'ai déjà lâcher, content du vol que je viens de faire, je porends Cap sur Kennedy et j'arrive entre le déco et le village de Le Bar sur Loup et à mi hauteur entre ces deux points. Je pense aller poser aux Vazllettes et uelues minutes après, je pose brise arrière. En effet, ça descendait légèrement mais suffisamment pour m'accélérer mon aile vers le camping. Posé vite mais posé sur mes pieds. Je suis content de mon vol.
15.02.2024 - Mont Court
Décollage à 13h19 au sommet du Mont Court. Pour y aller, c'est à pieds comme seul moyen pour y décoller avec son matériel de vol (Ikuma 3P et sellette cocon ArrowP). Le vol a duré 11'28" en décollant de 1715m d'alt. L'atterrissage s'est effectué sur le déco/attero de Cagnourine où j'ai laissé mon véhicule pour démarrer la rando. Ciel gris clair avec absence de thermique. Ce fut un plouf mais un régal de plaisirs par la marche et l'envol. La rando a quelque peu était difficile et m'a imposé quelques régulieres pauses pour calmer mes battements cardiaques. Vive les bâtons de marche. Conditions d'envol avec absence de brise de face. Généralement vent niul avec quelques coup de brisette arrière venant du Nord Nord-Est.
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14.02.2024 - Cagnorine À Tende
- Décollage à 14h05 pour une durée de vol de près d'une heure (55:07s)
- Voile utilisée : IKUMA 3P (Niviuk ) et ArrowP
- Distance parcourue : 4km
- Altitude maximum : 1370m
Conditions aérologiques peu soutenues mais avec quelques petits thermiques exploitables et localisés. Après une âpre bataille je suis parvenu à gratter sur la pyramide. Je me suis régalé. Ce jour-là, il y avait Maurice, Henri, Patrac et Lucien. Patrac a fait du gonflage et Lucien nous a regardé évoluer jusqu'à ce que Maurice et moi sommes parvenus à atteindre la pyramide. C'est à cet instant que Lucien s'est décidé à se mettre en l'air avec sa Delta 2. Henri a, quant à lui, fait un voleto de reprise. A la repose, je lui ai proposé d'essayer ma nouvelle aile Ikuma 3 et la sellette cocon ArrowP. A son retour sur ler plancher des vaches, son ressenti était flatteur pour mon matériel, plus léger, facile au virage où l'aile répond bien aux commandes.
13.02.2024 - Kennedy (Le Bar-sur-Loup)
Décollage à 12h52 avec l'Ikuma 3P et ArrowP. Ce jour là, il y avait une manche où des pilotes doivent suivre et valider des balises. Il y a donc de belles ailes comme les Zeno et autres ailes de cross. Je suis quant à moi avec l'Ikuma 3P et l'ArrowP. Les non participants à la manche attendent que tous les pilotes soient partis pour commencer à décoller. Mon tour arrive, les conditions aérologiques ne sont pas topissimo. Il va falloir se battre pour ne pas sombrer. Mais entre le temps où les participants à la manche et moi, la masse d'air s'est tonifiée. Je chope assez rapidement le thermique qui va tout d'abord me maintenir à un certain niveau, le temps que je localise où ça thermique. Une fois repérée, je travaille la zone ascedantes pour me hissers aux alentour de +900m sans atteindre les 1000. Je me décide alors de quitter Kennedy pour me tenter le relief des Courmette vu qu'il y a de l'Ouest qui rentre. J'arrive assez bas après la transition mais le bip sonnant par moment positivement, je me concentre à utiliser les zones ascendantes mêe si c'est un haché pour grapiller progressivement du gain en altitude. Le but étant de patienter pour trouver le thermique organisé qui va me hisser de manière plus concrète. Après avoir fait un temps l'essuie glace près du relief je commence enfin à trouver de quoi gagner de l'altitude et progresser ainsi d'un coin à un autre pour atteindre la partie sommitale du Pid de Courmettes. Je vois des ailes participant à la manche en situation de retour de Puy de Naouri. Une fois le Pic de Courmettes survolé, je me demande quel chemin je vais prendre pour continuer mon vol. J'hésite à prendre cap pour Cavillore, le village de Gourdon ou bien revenir sur Kenndy pour tenter de m'y poser afin de mettre un terme à mon vol tout en récupérant ma voiture. Finalement, après hésitation, et que l'Ouest commence à me contrer, j'opte le chelin le plus court à savoir Kennedy sauf que dans la transition, contré par l'Ouest, mon altitude se dégrade au point de ne point pouvoir me présenter au niveau du décollage. Je passe près du village de Bar sur Loup avec la ferme intention d'aller poser sur l'atterrissage des vallettes. Je pose vent de cul après un vol dépassant l'heure de vol. Je me suis sacrément fait plaisir. cela faisant bien longtemps que je n'avais plus survoler Courmettes alors j'en garde une assez grande satisfaction de ce vol.
- Envol à 12h52
- Temps de vol : 01:02:53s
- Voile utilisée : IKUMA 3P (Niviuk )
- Distance parcourue : 11km
- Altitude maximum : 1352m
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12.02.2024 - Gourdon
Le Haut Montet pour le 1er vol en décollant à 11h48 avec un reposé sur le déco 2 à son arrière. Il m'a fallu 3 tentatives pour réussir à poser après être allé jusqu'au niveau de la boule.
- Temps de vol : 00:23:54s
- Voile utilisée : IKUMA 3P (Niviuk )
- Distance parcourue : 2km
- Altitude maximum : 1318m
- L'embarnier pour le second vol à 12h25
- Durée du 22:12s
- Voile utilisée : IKUMA 3P (Niviuk )
- Distance parcourue : 3km
- Altitude maximum : 1163m
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11.02.2024 - Mont Gros (Roquebrune Cap Martin)
- Temps de vol : 00:27:17s
- Voile utilisée : IKUMA 3P (Niviuk )
- Distance parcourue : 8km
- Altitude maximum : 885m
08.02.2024 - Kennedy
C'est avec Sebastien N "Nash" et Thierry Servetti que je monte, en navette Icila, au décollage de Kennedy. Nous y sommes vers 11h et à notre arrivée on constate une biroute faiblement animée mais dans le bon sens. Le ciel est au grios avec quelques percée de rayons de soleil. Tous trois nous nous préparons à notre envol. Sebastien est équipé de son nouveau Cocon Arrow de Niviuk et s'apprête à faire son premier vol avec. C'est Thierry qui ouvre le bal et la faiblesse de la brise lui fait rater ses deux premiers levés d'aile mais à la troisième en donnant un peu plus d'énergie, il décolle parfaitement. Il se bat pour rester en l'air, c'est vraiment faible. C'est au tour de Sebastien qui s'apprete à décoller et c'est d'un premier levée avec une aile plus lmégère que celle de Thierry qu'il décolle sans plomber. Entre temps arrive un pilote pendant que moi je tente un décollage que je loupe aussi car l'aile n'est pas montée de manière satisfaisante. La deuxième tentative est similaire. Le pilore présent m'aide à remettre l'aile en place. Je me dis jamais deux sans trois ? alors je mets la gomme pour aider l'aile à se lever au mieux et hop, l'aile est au-dessus de ma tête. Je me retourne aussitpoit pour la charger en ventrale et j'engage la course d'envol. Décollage sans problème mais je sens que àa va être difficile de monter si je ne trouve pas assez rapidement de quoi monter. Je me glisse vers la droite près du relief pour écoper au mieux ce qui traine epndant que Sebastien grapille de l'altitude tranquillement mais pas de manière facile. Non, les conditions aérologiques ne nous aident pas à monter, il faut lutter. je me bats comme un beau diable et je croyais à un moment donné que j'allais gagner bataille et rejoindre Sebastien qui est plus haut que moi. Mais c'était forcément cyclique et le 2 à 3 dizaines de mètres que j'avais repris ne m'ont pas suffit pour au moins remonter au niveau du déco. C'est quand je vais cherché plus en Est que je perds le plus. Je suis au niveau du tuyau basé au bas du décollage. La bataille perdu, je me tente d'aller au-dessus du village pour glaner quelues minutes de plus de vol et je trouve une zone ascendante très douce mais qui me maintien en l'air et me fait gagner même 20 à 30 mètres de gain. Je m'amuse encore un peu ici avant de lâcher par lassitude de rester au même endroit et surtout parce qu'il était important d'avoir suffisamment de gaz pour rentrer au terrain avec une marge suffisante. J'ai posé sur le grand cercle de la cible voila donc une chose de positif en terme d'objectif. mais je dois dire que je suis aussi satisfait de mon vol pour avoir travailler dans du petit, très petit d'autant qu'au fil du temps qui passait ça s'éteignait ineluctablement. Quelques minutes après c'est au tour de Sebastien de se présenter au terrain pour se poser. C'est ainsi que ma journée vol libre s'éteignait aussi. J'ai passé une bonne matinée avec mes parapotes du jour.
07.02.2024 - Baou de la Gaude
Allez !! C'est parti pour un randovol au Baou de la Gaude en npartant tôt pour décoller avant 12h00. Je prends mon sac Niviuk qui contient l'Ikuma 3P et l'arrow et hop avec la voiture je monte au plus haut pour faire mon randovol en deux étapes. J'arrive au déco avec des bouffes un peu costauds qui rentraient en travers gauche bien prononcé. Tiens tiens, bizarre, les nuages se déplacent en Sud et les préviz annonçaient du Sud aussi. Reviendrait-il à dire que l'aérologie est pourrie ? Bon l'envie de décoller me tente trop et puis de toute façon à part ce travers gauche sporadique, il n'y a rien qui me dit que rien qu'y vaille. Je me prépare et ensuite j'attendrais les bonnes conditions d'envol. J'attends ni la bouffe trop forte et ni le calme trop plat bref, j'attends ce qui va me faciliter la levée d'aile et ensuite, un peu de stationnaire juste le temps de sqentir l'aile et l'air et hop je lance la course d'envol avec de bons appuis ventraux pour bien charger d'aile afin de sentir aussi ce qu'elle veut bien me renvoyer aux commandes. C'est parti, je vole, je m'écarte du relief puis je vire à droite au devant du Baou puisqu'il y a du Sud. L'aérologie n'est pas désordonnée, c'est bon signe. Alors c'est du thermique qui ventilait le déco de manière sporadique. Je pars donc sur la gauche cette fois-ci et c'est là que je trouve le fameux thermique. Youpi ! je l'enroule de 5 à 6 tours et me fait prendre une petite centaine de mètres. Je suis au-dessus du relief. Je finis par lacher le thermique volontairement alors que c'était le meilleur moment pour y rester. En fait je n'avais pas envie de monter plus haut. .....
04.02.2024 - Kennedy
C'est avec Sebatien Hugot que je me rends au décollage de Kennedy. Sebastien essaiera mon cocon Delight 3 et moi je volerai avec mon Ikuma 3P et l'ArrowP. Quand nous arrivons au décollage les conditions se montrent très molles voire inexistantes pour décoller. Personne en l'air et c'est le désert sur les lieux. Le ciel est au gris et la brise n'est pas installée. Ce n'est que sporadiquement que l'on y trouve une toute petite brisette de face, il y eut même de la brise de terre rentrante qui inquietait l'idée de décoller. Finalement, c'est Sebastien qui finit par se décider tout de même à décoller. Un vol sans grand intérêt mais tout de même, c'est toujours un décollage, un vol et un atterrissage. Avec ces conditions là, il faut savoir s'en contenter.
Distance : 4km - Plafond : 871m - Gain : 241m - Temps de vol : 00:31:15s - Vario max : 2.1m/s
02.02.2024 - Baou de la Gaude
C'est un randovol au Baou de la Gaude avec l'Ikuma 3P et ArrowP (cf randovol 2024).
01.02.2024 - Bévéra
A Tende ça ne vole pas en cette saison hivernale sauf exception. Avec le club la veille nous avions décidé de nous rendre à Bévéra. Ce sont à cinq pilotes (Lucien Berenger, Maurice et Jean-Marc Baldi, Mario Limon et moi) que nous descendons la vallée de la Roya pour faire un simple tout petit vol. Les conditions étient tellement pauvre que ce fut juste un plouf dont seulement deux pilotes ont pris part au décollage: Jean-Marc et moi. Les autres sont redescendus en voiture. Vivement le prochain vol en espérant que ce soit un peu plus fumant.
La ligne Haute Tension à proximité du décollage
28.01.2024 - Campé
Un vol à Campé de Breil-sur-Roya avec la Delta 4 et Cocon Delight 3
Breil-sur-Roya et son Lac
30.01.2024 - Roquebrune Cap Martin
En cette journée, ce sont deux vols effectués à Roquebrune Cap Martin sous mon aile Ikuma 3P et sellette cocon ArrowP. Ce fut une journée vol libre partagé avec Aurore et Sebastien Nash et Toby. Une très belle journée et calme comme je les aime accompagnée d'une mer d'huile.
Décollage du Mont Gros et le Mont Agel
27.01.2024 - Kennedy (Le Bar-sur-Loup)
Un envol à Kennedy avec l'Ikuma 3P et ArrowP
25.01.2024 - Baou de la Gaude
Un petit randovol me dis-je pour sécher mon rhume qui traine de trop et pourquoi pas ? c'est donc des tennis des Combes que je démarre ma rando à 9h45 environ après y avoir laissé mon véhicule. Pour cette rando à kilomètres, j'ai opté de prendre mon ultralite 3 d'Ozone avec le sac sellette Kortel qui va bien avec son air bag et qui porte mon U3 et la sellette light Kruyer. Je longe donc la D2602 plutôt que de rejoindre le lit du fleuve où j'aurai certainement été plus tranquille en terme de sécurité mais c'est ainsi, je fais avec. Arrivé au pont de la Manda, je me dis que j'ai fait quasi la moitié de la portion plate qui m'amène au début du sentier qui va monter et qui démarre en bordure de la routre de la Baronne. Je marche d'un pas rapide sur le plat mais je sais d'avance qu'il n'en sera pas de même quand ça va grimper. Je suis sensé retrouver Philippe Vitteau qui était également partant pour faire ce randovol et il y sera avec un parapote à lui, Mitchal du club de Gréolières Au Gré de l'air (cf randovol 2024).
23.01.2024 - Kennedy (Le Bar-sur-Loup)
C'est accompagné de Thierry Servetti que je monte jusqu'au décollage de Kennedy avec le Duster contenant mon aile Delta 4. Je pensais vraiment faire un vol interessant qua d j'ai vu le ciel très clair mais je n'avais pas vu les préviz qui annoncaient de la stabilitait. C'est une manche à air molle que nous trouvons sur place et pas d'aile dans le ciel, je comprends donc mieux que ce n'est pas une bonne journée de vol libre dans le coin. Thierry se lance le premier et rate ses deux premiers décollages, le troisième est le bon après avoir perçu que son attache ventrale était trop détendue et qu'il ait corriger son cap de course d'envol plus orienté dans le sens de la brise, ce qui l'empêchait de charger son aile durant la course d'envol et de se faire aider de la brisette qui alimentait légèrement la pente. Après l'avoir raccourci et corrigé son axe de course, il fait un décollage propre. Je le regarde évolué et je vois que ça ne porte pas vraiment quand on s'éloigne du relief. Je fais un premier levée d'aile mais l'aile par effet de girouette se place en Est (travers gauche). Je ne cherche même pas à la charger pour la contrôler, je l'accompagne au sol pour attendre de meilleures conditions pour la lever. Sentant la brise se renforcer légèrement et de manière orientée correctemen,t, je lève l'aile et cette fois-ci, l'aile se place face à la pente ce qui m'amène tout d'abord à faire une tempo en ayant garder l'aile de face avant de me retourner face à la pente pour lancer la course d'envol. Une fois en l'air, je cherche à sentir comment la masse d'air se bouge. Quand je tente à droite, alors qu'il y avait un léger travers gauche venant donc d'est, je ne sens pas de déclenchement de thermique et de zone portante, j'insiste un petit peu mais je dois abdiquer si je ne veux pas m'enfoncer trop dans cette masse d'air manquait de générosité en ascendance. Je contourne donc le relief pour me diriger plus en ouest. Dans ce coin là, je vais trouver de quoi le maintenir en l'air et même me hisser plus haut que le décollage pour survoler les cîmes des arbres du bois de Gourdon. Pour cela, il m'a fallu toutefois insistait un peu dans les zones ascendantes trouvées dans une centaines de mètres du décollage à sa droite en Ouest. Ca se passait un peu au-devant du relief et quand j'enroulais l'ascendance je venais flirter avec le relief à quelques mètres des buissons et rochers qui le composait en façade. Je suis assez content de faire avec du petit car sur le coup, finalement je m'en sors pas trop mal. C'est à deux reprises que je viens narguer le décollage en le survolant tout en faisant toutefois attention à ne pas me pre,ndre trop de turbulences en volant ainsi. En jiouant avec les zones portantes et montantes, j'ai eu à subir quelques petits flops du bout d'aile à droite et quelques accélérations de la masse d'air que les thermiques créaient. Suffisamment sarttisfait et voyant que mon ami Thierry avait posé, j'use de l'accélérateur pour m'éloigner des lieux tout en me dirigeant vers le relief des antennes mais à mi chelmin, je change de cap pour le relief des Courmettes histoire d'aller sentir comme ça se passe la-bas. Bien bas, et sans rencontre interessante, je finis pas me dire d'aller poser. C'est ainsi que se termine mon vol au bout de 25 minutes de vol seulement mais tout de même satisfait d'avoir vécu quelques sensations et surtout m'être battu avec le peu qu'il y avait pour se hisser dans la masse d'air. Il ne me restait plus qu'à plier mon aile, à rajouter un cordon élastique qui relie l'accélo à la sellette et hop, direction Kennedy avec le fourgon de Thierry pour récupérer la voiture laissée au déco.
21.01.2024 - Le Bar-sur-Loup (Kennedy)
8h30, allo Thierry tu viens voler aujourd'hui ? (Thierry est rentré de Tenerife hier soir). Oui : je viens voler. Le rendez-vous pour 11h00 aux Vallettes. C'est avec sa Subaru que je monte au parking de Kennedy. Les parapotes sont déjà depuis un petit moment au décollage. Quand nous arrivons le décollages est occupé de quelques pilotes et en l'occurence de Benoit Morel, un ancien pilote que j'ai connu au cours de mes sorties Randovol en moyenne montagne, un pilote de club Au Gré de l'air de Gréolières. Quand je suis arrivé, les conditions commencent à peine à s'installer ce qui amène une cerrtaine animation pour ne pas dire agitation qui serait un peu excessif pour ce que je vois. C'est d'ailleurs Benoit qui ouvre le bal des envols.
20.01.2024 - Gourdon
C'est avec Christophe, le mari de Claire une amie de Dojo, que j'ai rendez-vous pour 10h30 à la Colle sur Loup pour un vol biplace à Gourdon. Nous laissons tout d'abord une voiture à Vallettes avec l'espoir de faire une transition en décollant de Gourdon jusqu'au grand terrain des Vallettes sous le village de Bar-sur-Loup. Voiture laissée, nous montons directement au déco 2 de l'Embarnier pour nous préparer à l'envol. Il y a pas mal d'ailes en l'air qui sont déjà bien sattelisées. De toute évidence, c'est une grande journée pour le vol libre et je me réjouis d'avance mais l'avenir nous dira qu'il n'en sera pas vraiment ainsi mais ça, il faut vivre le moment pour le savoir comme quoi .... Il y a quelques ailes sur le déco 2 et même sur le déco 3 des ailes sont étalées. Je déballe donc mon aile BiGolden 3 et les sellettes sont la sellette passager n'est autre qu'une sellette réversible de chez Supaur que j'utilisais autrefois lors de mes randovols montagneux (cf biplace 2024). Après ce vol, je ne voulais plus revoler pour aller boire un coup avec Christophe et je demande à Christophe q'il veut tout d'abord me ramenert à ma voiture laissée au déco de Gourdon. La voiture récupérée et après reflexion, en regardant le ciel, mon cerveau s'est retourné pour me dire "tu as vu le beau ciel bleu ? et tu ne veux pas en profiter ??" et c'est donc en redescendant de la piste que j'interpelle Christophe pour lui demander s'il était d'accord pour m'accompagner au déco de Kennedy pour que je fasse un envol tout en laissant ma vallette à Kennedy une fois que j'ai décollé.
11.01.2024 - Baou de la Gaude
C'est avec Geraldine et Philippe que j'ai rendez-vous pour faire un petit randovol de la Route de la baronne jusqu'au sommet du Baou de la Gaude. C'est parti à pieds vers les 10h30. Il pluviotte ..... (cf randovol 2024).
06.01.2024 - Baou de la Gaude
Aujourd'hui c'est mon deuxième randovol de la nouvelle année. C'est avec Alex, Sebastien Nash, Jean, Geraldine que je me rends au déco du Baou de la Gaude. Les conditions devraient nous être favorables pour décoller de ce décollage en Sud-Est selon les prévisions de MétéoBlue (cf randovol 2024).
04.01.2023 - Baou de la Gaude
Mon premier envol de l'année 2024 commencé par un gentil randovol de Gattières au Baou de la Gaude. et du Baou de la Gaude à la route de la Baronne. Un randovol proposé aussi sur le groupe Whatsapp "Allez Viens" ce qui a amené plusieurs membres de ce groupe à venir sur le déco Sud-Est .... avec l'espoir de décoller malgré les préviz peut encourageantes. Mais selon moi, il y avait de quoi faire à cette altitude et c'est bien ce qui s'est passé (cf randovol 2024).